Sonothérapie et massage sonore avec un bain de gong traditionnel
Et voilà, la science s'intéresse à la Sonothérapie et massage sonore avec les vibrations des sons. En effet, le son a un effet anxiolytique et antidouleur reconnu. Les vibrations sonores vont être captées par des milliers de petits récepteurs sensoriels localisés sous la peau, appelés corpuscules de Pacini. Ces récepteurs transmettent les vibrations sonores à la moelle épinière et au cerveau. Ceux-ci vont décharger des hormones comme la sérotonine, la dopamine et l'ocytocine. Ce qui a un impact favorable sur notre bien-être. "
La synchronicité est parfaite car cyrille et moi même nous sommes formés au bain de gong traditionnel chez Anahata Gong School
Le pouvoir secret des postures sacrées des mains - Mudras
Le mudra peut être considéré comme le yoga des doigts. en sanscrit cela se traduit par un sceau. Il permet de sceller l'énergie qui circule pour la véhiculer dans certaines parties du corps. Ce sont des gestes à la fois simple et bienfaisant et vous trouverez dans cette vidéo une trousse de ses gestes qui vont agir sur le plan émotionnel et physique.
Les bonhommes allumettes, voici un outil créé par Jacques Martel, auteur du grand dictionnaire des malaises et maladies que je propose dans mes accompagnement pour se libérer des émotions négatives. Il est simple et efficace, pouvant être utilisé par tous, pour couper avec des liens d'attachement toxiques.
Cela nous permet d'avoir un regard plus lucide, d'avoir plus de clairvoyance dans nos liens d'attachements et nos sentiments d'amour avec la prise de recul.
Nous avons besoin de sortit toutes nos pensées négatives de notre tête en dessinant ou en écrivant pour sortir de la confusion du mental.
Le matériel nécessaire est une feuille blanche de format A4, d'un crayon ou crayons des de couleur (si vous voulez vous accordez aux couleurs correspondant à chaque chakra) et d’une paire de ciseaux. Rien à réfléchir...
Vous devez tout d'abord vous dessiner vous, dessiner ensuite l’autre (personne ou situation), vous entourer d'un halo de lumière l'un et l'autre et dans son ensemble et symboliser les attachements qui vous lient (7 niveaux) puis couper ces attachements avec les ciseaux
Avec ces deux morceaux de papier dans les mains, plusieurs solutions, : vous les jetez à la poubelle, vous les passez au broyeur, vous les brûlez en disant « Vos problèmes sont vos problèmes et je ne les endosse pas ! ». Faites vraiment comme vous le sentez. et observez les changements dans la relation ou la situation
Voici le lien d'une vidéo sur lequel cliquer pour bénéficier de toutes les explications détaillées
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Cette question du "Qui suis je ?" est essentielle.
Certaines personnes que je reçois en accompagnement individuel me disent : "mais qu'est ce que je fous ici ?
C'est pourquoi il est important de bien se connaître, découvrir ses valeurs essentielles, identifier ses besoins dans toutes ses dimensions, ses compétences et ses qualités souvent ignorés ou niés. Cette nouvelle connaissance de soi permet de mieux s'affirmer et de s'exprimer dans sa vérité, de mieux relationner avec les autres.
Cela donne la possibilité de se découvrir en profondeur, parfois se remettre en question en faisant fi de son Ego et prendre des décisions pour donner du sens à sa vie.
Je vous propose cette légende Hindoue pour illustrer mon propos :
Une vieille légende hindoue raconte qu’il y eut un temps où tous les hommes étaient des dieux. Mais ils abusèrent tellement de leur divinité que Brahma, le maître des dieux, décida de leur ôter le pouvoir divin et de le cacher à un endroit où il leur serait impossible de le retrouver.
Le grand problème fut donc de lui trouver la cachette.
Lorsque les dieux mineurs furent convoqués à un conseil pour résoudre ce problème, ils proposèrent ceci : « Enterrons la divinité de l’homme dans la terre. »
Mais Brahma répondit : « Non, cela ne suffit pas, car l’homme creusera et la trouvera. »
Alors les dieux répliquèrent : « Dans ce cas, jetons la divinité dans le plus profond des océans. »
Mais Brahma répondit à nouveau : « Non, car tôt ou tard, l’homme explorera les océans, et il est certain qu’un jour, il la trouvera et la remontera à la surface. »
Mais alors les dieux mineurs conclurent : « Nous ne savons pas où la cacher, il ne semble pas exister sur terre ou dans la mer d’endroit que l’homme ne puisse atteindre un jour. »
Alors Brahma dit : « Voici ce que nous ferons de la divinité de l’homme : nous la cacherons au plus profond de lui-même, car c’est le seul endroit où il ne pensera jamais à chercher. »
Depuis ce temps-là, conclut la légende, l’homme a fait le tour de la terre, il a exploré, escaladé, plongé et creusé, à la recherche de quelque chose qui se trouve en lui.
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J'aime ce schéma ci-dessous, décrivant les 4 phases à adopter en cas de conflit, issues de la communication non violente. Comment sorti d'un conflit !
Quand nous sommes en situation de conflit, qu'il soit personnelle, familiale ou professionnelle, voici les étapes à décliner avec les personnes concernées avec bienveillance et sans jugement et avec l'intention de renouer le lien.
La première étape : exprimer à l'autre, sans être dans l'accusation (le TU tue) les faits, la situation conflictuelle
Deuxième étape : décrire à l'autre nos ressentis, quels émotions ou sentiments ont émergé et qui à pu nous mettre en réaction. Ne pas oublier, que dés lors, que nous sommes en réaction, cela vient obligatoirement réveiller une blessure de l'enfant.
Troisième étape : comprendre et exprimer à l'autre notre besoin tout simplement
Quatrième étape : faire une demande à l'autre et trouver ensemble un compromis
Ci-dessous, une vidéo de Thomas d'ASEMBOURG sur la base de a communication non violente, avec un outil efficace et très simple.
Il existe aussi des livres très intéressants et efficaces, pour améliorer nos relations avec l'autre comme "Cessez d'être gentil, soyez vrai" ou "les mots sont des fenêtres" de Thomas d'ASEMBOURG.
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Prospérité et abondance - Technique du verre d'eau
Demandez et vous aurez....
Nous avons, pour la plupart d'entre nous, entendu dans notre enfance, "ce n'est pas bien de demander, ce n'est pas poli". Cela a conditionné des générations entières qui n'ont pas appris à demander en se contentant de ce qu' elles avaient.
Nous savons maintenant qu'avec la loi d'attraction, nos pensées attirent vers nous des évènements de même nature.
Là encore nos pensées issues de notre inconscient, à savoir ce qui nous a été répétées par les parents ou les éducateurs ont pu devenir une évidence ou une croyance. Comme "Tu es nul, tu ne feras jamais rien de ta vie" et l'être humain peut aller jusqu'à se prouver que ses parents ont raison.
Alors n'hésitez plus à demander le meilleur pour vous même, devenez libre de vos choix, à formuler une demande consciente.
Les demandes en rapport avec ses aspirations produisent de puissantes vibrations provenant de tout notre être et sont ainsi mieux entendues....
Vous pouvez utiliser la technique du verre d'eau comme dans la vidéo ci-dessous pour obtenir prospérité et abondance.
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Je vous propose la lecture de cet article particulièrement intéressant. En effet, le corps parle et il suffit de l'écouter.
Cependant, nos parents, pour la plupart, ne l'ayant pas appris, n'ont pas pu nous le transmettre. C'est pourquoi, le Yoga se développe de plus en plus aujourd'hui car il nous ramène au corps. Sa pratique nous invite à ressentir et à observer nos ressentis, à écouter les messages de notre corps.
Nous faisons l'entretien de notre véhicule mais nous négligeons bien souvent de prendre soin de son corps et de son cœur et de son âme.
Ci-dessous : Maladie! Le lien entre émotions et maladies par Cyril R. , le 05/10/2016 , mis à jour le 08/28/2021
Le mal a dit » = Maladie! La relation probable entre nos émotions et nos maladies
Le point de vue yogique est de regarder le corps comme un instrument de développement spirituel.
Comme chaque instrument notre corps a ses propres règles et son langage. C’est seulement par l’ignorance que nous ne pouvons (ou ne voulons) pas entendre et comprendre ses messages. Il est devenu normal aujourd’hui de réagir sur une maladie ou une douleur avec une action répressive. Et si on essayait par un système de « décodage corporel » trouver la cause d’une maladie qui se trouvent toujours dans le psychisme ?
Le mal a dit = maladie : Les étapes de formation d’une maladie
Dans son œuvre, Ashtanga Hridaya Samhita (7ème siècle), Vabghata évoque six stades du développement d’une maladie :
Psychique :le stade causal, quand le déséquilibre apparaît au niveau du subconscient. Ce déséquilibre est lié à une conception de l’ego en interaction avec le monde extérieur
Énergétique :le déséquilibre du système des canaux énergétiques (nadis).
Neuroendocrinien :le dysfonctionnement du système neuroendocrinien (le déséquilibre apparaît au niveau du corps physique ;
Endotoxique :le développement des toxines dans les différentes parties du corps ;
Visible symptomatique :l’apparition des symptômes cliniques de la maladie ;
Terminal : la destruction de l’organe malade.
Il n’est pas difficile de déduire auxquels des ces six stades la médecine occidentale intervient dans la plupart des cas. On voit ici que les symptômes qui apparaissent au niveau du corps sont les derniers cris du système pour se faire apercevoir. Et en réponse à ce crie le plus souvent on essaye de faire taire le corps au lieu de lui être gratifiant.
Le mal a dit = maladie : Dictionnaire des maladies
Il existe aujourd’hui tout un ouvrage composé par Jacques Martel “Le grand dictionnaire des malaises et des maladies” qui permet de comprendre nos états intérieurs en faisant des observations extérieures. Ce livre est une sorte de guide pour comprendre ce qui se joue et de faire remonter en surface les choses que nous pourrions avoir tendance à refouler, ou à ne pas vouloir apercevoir. Toutes les émotions que nous refoulons à l’intérieur de nous-même parce que nous ne pouvons pas ou ne voulons pas les verbaliser, peuvent se cristalliser dans différentes parties du corps ou se manifester à travers tel ou tel problème corporel.
La panique peut provoquer des diarrhées.
La colère retenue ou la rancune : une crise de foie.
La difficulté à trouver ou à prendre sa place peut provoquer des infections urinaires à répétition.
Quelque chose qu’on ne veut pas entendre ou quand on ne s’écoute pas : des otites, douleurs d’oreilles.
Quelque chose qu’on n’a pas osé dire, qu’on a ravalé : des angines, des maux de gorge.
Un refus de céder, de plier, d’obéir ou de se soumettre : des problèmes de genoux.
Peur de l’avenir, peur du changement, peur de manquer d’argent : des douleurs lombaires.
Intransigeance, rigidité : des douleurs cervicales et nuque raide.
Conflit avec l’autorité : des douleurs d’épaules.
Quand on prend trop de choses sur soi : également douleurs d’épaules avec une sensation d’un fardeau.
Affronter une situation ou une personne sans se permettre de s’exprimer : des douleurs dentaires, aphtes, abcès.
L’incapacité d’avancer : des douleurs dans les pieds, les chevilles.
La colonne vertébrale est aussi un merveilleux terrain d’investigation de toutes nos émotions refoulées ! Illustration tirée du livre de R.Fiammetti : les cartes du langage émotionnel du corps avec un “décodage de notre dos”.
Le mal a dit = maladie : Quelques extraits du livre de Jacques Martel
Foie
Le foie représente les choix, la colère, les changements et l’adaptation. On peut souffrir du foie quand on ne parvient pas à s’adapter à des changements, professionnels ou familiaux. Difficultés d’ajustement à une situation. Sentiment de manque continuel ou peur de manquer. Colère refoulée. Personnes sujettes aux maladies du foie : les personnes qui critiquent et qui jugent beaucoup (elles-mêmes et les autres) et/ou qui se plaignent souvent.
Vésicule biliaire
La vésicule biliaire est en rapport avec l’extérieur, la vie sociale, la lutte, les obstacles, le courage. Se battre. Esprit de conquête. Se faire de la bile, s’inquiéter, s’angoisser. Sentiment d’injustice. Colère, rancune. Se sentir envahi, empiété sur son territoire par une personne autoritaire. Agressivité rentrée et ruminante, mécontentement retenu. Se retenir de passer à l’action. Difficultés à faire un choix, de peur de se tromper.
Glande thyroïde
Profonde tristesse de ne pas avoir pu dire ce qu’on aurait voulu. Sentiment d’être trop lent par rapport à ce qu’on attend de nous. Impuissance, sentiment d’être coincé dans une situation, être devant un mur, dans une impasse. Être bloqué dans la parole ou dans l’action, être empêché d’agir. Pas le droit de parler, de s’exprimer. Ne pas se sentir écouté. Difficultés à s’affirmer. Une déception ou une injustice n’a pas été « avalée » et est restée en travers de la gorge.
Hernies
De la détresse implose à l’intérieur et demande à être libérée. Désir de rompre ou de quitter une situation où on se sent coincé, mais où l’on reste par peur de manquer de quelque chose, généralement du matériel. Auto-punition parce qu’on s’en veut, incapacité à réaliser certaines choses qu’on voudrait. Frustration de travailler dur, se sentir poussé à aller trop loin, ou essayer d’atteindre son but d’une manière excessive, qui en demande trop. Une poussée mentale (de stress) essaie de sortir. Mais en plus, le lieu où siège l’hernie indique son message émotionnel de manière plus précise et complémentaire :
Hernie inguinale (dans l’aine) : difficulté à exprimer sa créativité, secret que l’on renferme et qui nous fait souffrir. Désir de rompre avec une personne qui nous est désagréable, mais avec laquelle on se sent engagé ou qu’on est obligé de côtoyer. On aimerait sortir, s’extirper de cette situation.
Hernie ombilicale : nostalgie du ventre de la mère où tout était facile et où se sentait totalement en sécurité. Refus de la vie.
Hernie discale : conflit intérieur, trop de responsabilité, sentiment de dévalorisation, ne pas se sentir à la hauteur de ce qu’on attend de nous, projets et idées non reconnus. La colonne vertébrale représente le soutien. Besoin d’être appuyé, soutenu, mais difficulté ou impossibilité de demander de l’aide.
Hernie hiatale : se sentir bloqué dans l’expression de ses sentiments, de son ressenti. Refouler ses émotions. Tout vouloir diriger, ne pas se laisser porter par la vie mais la contrôler.
Genoux
Douleurs aux genoux, genoux qui flanchent, genoux qui craquent, douleurs aux ménisques : refus de plier, de se « mettre à genoux » (de se soumettre) de céder, fierté, ego, caractère inflexible ou au contraire, on subit sans rien oser dire, on s’obstine, mais nos genoux nous disent que nous ne sommes pas d’accord avec cette situation. Difficultés à accepter les remarques ou les critiques des autres. Problèmes avec l’autorité, la hiérarchie, problèmes d’ego, d’orgueil. Devoir s’incliner pour avoir la paix. Ambition réfrénée ou contrariée par une cause extérieure, Entêtement, humiliation. Culpabilité d’avoir raison. Colère d’être trop influençable.
Peau
Les maladies de peau ont très souvent, à l’origine, un conflit de séparation mal géré, une séparation mal vécue, soit par la mère, soit par l’enfant, ou la peur de rester seul et un manque de communication. Séparation aussi envers soi-même : dévalorisation de soi vis-à-vis de l’entourage. Porter trop d’attention à ce que les autres peuvent penser de nous.
Eczéma
Anxiété, peur de l’avenir, difficultés à s’exprimer. Impatience et énervement de ne pas pouvoir résoudre une contrariété. Séparation, deuil, contact rompu avec un être cher. Chez les enfants, l’eczéma peut résulter d’un sevrage trop rapide ou d’une difficulté de la mère à accepter que son enfant ne soit plus « en elle ». Sevrage de l’allaitement ou reprise du travail de la maman et culpabilité non exprimée, mais que l’enfant ressent et somatise ainsi. Querelles ou tensions dans la famille, que l’enfant ressent. Insécurité.
Acné
Manière indirecte de repousser les autres, par peur d’être découvert, de montrer ce qu’on est réellement, parce qu’on pense qu’on ne peut pas être aimé tel que l’on est. Puisqu’on se rejette, on crée une barrière pour que les autres ne nous approchent pas. Refus de sa propre image, de sa personnalité ou de sa nouvelle apparence. Honte des transformations corporelles. Difficulté à être soi-même, refus de ressembler au parent du même sexe.
Psoriasis
Personne souvent hypersensible qui n’est pas bien dans sa peau et qui voudrait être quelqu’un d’autre. Ne se sent pas reconnue, souffre d’un problème d’identité. Le psoriasis est comme une cuirasse pour se défendre. Besoin de se sentir parfait pour être aimé. Souvent une double conflit de séparation, soit avec deux personnes différentes, soit un ancien conflit non résolu, réactivé par une nouvelle situation de séparation. Se sentir rabaissé ou rejeté, à fleur de peau. Se protéger d’un rapprochement physique, ou protéger sa vulnérabilité, mettre une barrière.
Bras
Il y a de nombreuses causes émotionnelles liées aux douleurs et aux problèmes de bras. Les bras sont le prolongement du cœur et sont liés à l’action de faire et de recevoir, ainsi que l’autorité, le pouvoir. Les douleurs aux bras peuvent être liées à de la difficulté à aimer ce que je dois faire. Se sentir inutile, douter de ses capacités, ce qui amène la personne à se replier sur elle et à s’apitoyer sur ses souffrances. Se croire obligé de s’occuper de quelqu’un. Ne pas se sentir à la hauteur lorsqu’on est le « bras droit » de quelqu’un. Difficulté à prendre les autres dans ses bras, à leur montrer de l’affection. S’empêcher de faire des choses pour soi-même, parce qu’on se souviens des jugements négatifs et des interdictions durant l’enfance, ce qui était blessant. Ne pas se permettre de prendre ou je regretter d’avoir pris quelque chose, ou de penser avoir obtenu quelque chose sans le ne mériter. Se rapporter au fait d’avoir été jugé par ses parents. Vouloir emprisonner quelqu’un dans ses bras pour l’avoir sous contrôle, mais avoir dû le laisser s’envoler, et ne plus pouvoir l’aimer et le protéger (un enfant, par exemple). Vivre une situation d’échec, devoir baisser les bras.
Épaules
La fonction première des épaules est de porter. Les épaules portent les joies, les peines, les responsabilités, les insécurités. Le fardeau de nos actions et tout ce qu’on voudrait faire, mais qu’on ne se permet pas, ou qu’on n’ose pas. On se rend responsable du bonheur des autres, on prend tout sur soi, on a trop à faire, on se sent écrasé, pas épaulé, pas soutenu. Douleurs possibles aussi quand on nous empêche d’agir, ou que l’on on nous impose des choses. Lorsqu’on vit une situation dont ont ne veut plus, on désire passer à autre chose, mais le manque de confiance en soi nous bloque. On manque d’appui, on manque de moyens. On ne se sent pas aidé. Une personne chère ou l’un de nos parents vit de la tristesse et on aimerait prendre son chagrin et ses problèmes pour l’en libérer. Colère retenue contre un enfant ou une autre personne qui se la coule douce alors qu’on ne se donne même pas le droit de prendre un temps de pause. Au travail ou à la maison, avec son conjoint, on se sent dans l’obligation de se soumettre, on se sent dominé sans oser réagir. On vit de l’insécurité affective (douleur épaule gauche) ou de l’insécurité matérielle (douleur épaule droite). Épaules rigides et bloquées sont signe d’un blocage de la circulation de l’énergie du cœur, qui va vers l’épaule, puis vers le bras, le bras donne (le bras droit) et reçoit (le bras gauche). Ce blocage d’énergie est souvent retenu dans une articulation ou un tissu (capsulite, bursite). L’énergie doit circuler du cœur vers les bras pour permettre de faire, de réaliser ses désirs. On porte des masques, on bloque ses sentiments, on entretient des rancunes (douleurs dans les trapèzes, surtout à gauche). parfois envers soi-même. On paralyse ses épaules pour s’empêcher d’aller de l’avant, de faire ce qu’on aimerait vraiment. On prend le fardeau sur soi plutôt que d’exprimer ses demandes et ses ressentis, de peur de mécontenter l’autre. Difficulté ou impossibilité à lever le bras : conflit profond avec sa famille, difficulté à voler de ses propres ailes.
Le mal a dit = maladie : Dialoguez avec le corps
Essayez de modifier, clarifier ou de lâcher-prise par rapport à la situation qui vous perturbe. Le mot lui même maladie pointe sur ce mécanisme d’expression corporelle : « le mal a dit ». Votre douleur essaie de vous dire quelque chose, de vous signaler que quelque chose perturbe l’harmonie en vous, d’attirer votre attention sur quelque chose à changer dans votre vie.
N’ayez pas peur, ne haïssez pas vos maladies! Reconnaissez et acceptez les émotions, si vous les éprouvez, mettez des mots dessus, acceptez votre ressenti. Une fois les émotions négatives reconnues, acceptées et évacuées, le corps peut cesser de vous envoyer ce message de « mal a dit.
Il était une fois une île sur laquelle vivaient tous les sentiments et toutes les valeurs humaines : le Bonheur, la Tristesse, la Sagesse… ainsi que tous les autres, y compris l’Amour.
Un jour, on annonça que l’île allait être submergée. Alors tous préparèrent leurs embarcations et s’enfuirent. Seul l’Amour resta, attendant jusqu’au dernier moment. Quand l’île fut sur le point de disparaître, l’Amour décida de demander de l’aide.
La Richesse passa près de l’Amour dans un bateau luxueux et l’Amour lui dit :
– “Richesse, peux-tu m’emmener ?”
– “Je ne le peux pas car j’ai beaucoup d’or et d’argent dans mon bateau et il n’y a pas de place pour toi.”
Alors l’Amour décida de demander à l’Orgueil qui passait, lui aussi, dans un magnifique bateau :
– “Orgueil, je t’en prie, emmène-moi.”
– “Je ne peux pas t’aider, Amour. Tu es tout mouillé et tu pourrais endommager mon bateau.”
La Tristesse étant à côté, l’Amour lui demanda :
– “Tristesse, je t’en prie, laisse-moi venir avec toi.”
– “Oh Amour”, répondit la Tristesse, “je suis si triste que j’ai besoin de rester seule”.
Le Bonheur passa aussi à côté de l’Amour mais il était si heureux qu’il n’entendit même pas qu’on l’appelait.
Soudain, une voix dit :
– “Viens, Amour, je t’emmène avec moi.”
C’était un vieillard qui l’avait appelé.
L’Amour était si heureux et si rempli de joie, qu’il en oublia de lui demander son nom. Arrivés sur la terre ferme, le vieillard s’en alla. L’Amour se rendit compte combien il lui était redevable et demanda au Savoir :
– “Savoir, peux-tu me dire qui est celui qui m’a aidé ?”
– “C’est le Temps”, répondit le Savoir.
– “Le Temps ?”, demanda l’Amour. “Pourquoi le Temps m’aurait-il aidé ?”
Le Savoir plein de sagesse répondit :
– “Parce que seul le Temps est capable de comprendre combien l’Amour est important dans la vie”.
Que nous dit concrètement ce conte ?
Il nous montre à quel point l'entrée en scène de l'ego dans la sphère des sentiments exclut l'amour.
La richesse est trop imbue d'elle-même, sa suffisance n'invite pas l'amour.
L'orgueil par excellence est une enflure de l'ego et un ego boursouflé ne peut inviter l'amour, pour inviter l'amour il devrait se convertir en humilité.
La tristesse, comme le chagrin, nous replie sur nous-même et nous coupe des autres, elle nous isole. Comment peut-on, dans un isolement que l'on a soi-même créé, être capable d’aimer ? Le chagrin exclut l'amour.
De même, un bonheur qui s'enivre de lui-même, qui ne se communique pas, ne va pas vers l'amour.
Qui invite l’amour ? Le texte dit : le temps.
L'amour a la patience du temps. C'est dans le temps que l'on aime vraiment et non pas dans un bref élan éphémère de passion. Le temps créé de l'altérité. Il peut se marier avec l'amour qui lui tend vers l'unité.
"Monte donc sur ma barque, nous avons quelque chose à faire ensemble !
Je suis capable de comprendre quelle importance tu as dans la vie".
Cependant, cela, le temps ne le dit pas, c'est la Connaissance qui le découvre, qui le révèle et cette révélation est un mot de sagesse.
Ces méditations ont été données par Yogi Bhajan et rappelées et expliquées par Ram Singh
Nous sommes actuellement dans la période de transition qui sépare « l'Ère des Poissons », que nous quittons, de celle dite « du Verseau » dans laquelle nous entrons. Les grands changements civilisationnels de ce type s'accompagnent généralement d'une « période grise », selon Yogi Bhajan. Une génération de flou qui sera marquée par l'incertitude, le doute, le manque de repères.
L'angoisse existentielle génère une forme de dépression dite « froide ». On continue de fonctionner sur la base de paramètres que l'on sait, que l'on sent, dépassés. On perçoit l'obsolescence de nos modes de raisonnement et la vanité de nos modes d'action, mais on ne sait pas encore faire autrement. On mesure ce que l'on perd, on perçoit ce qui n'est plus, on se lamente sur la disparition des valeurs qui prévalaient. Mais on manque de l'intuition et de la sensitivité nécessaires pour accueillir le monde nouveau qui prend forme. On s'attache à ce qui meurt, faute de s'identifier à ce qui naît.
Au-delà de l’espoir, ou des discours rassurants ou angoissants sur l’avenir, la véritable clé de notre avenir est la capacité individuelle et collective à mettre à jour notre conscience pour l’adapter aux paramètres de ce nouvel âge. Et pour cela, nous disposons de l’outil idéal : la méditation.
En septembre 1975, Yogi Bhajan a enseigné une série de méditations pour traverser cette période grise avec grâce et dignité, sans baisser les bras, sans se laisser emporter par les vagues d’angoisse de cette transition, sans perdre le contact avec le soi authentique.
4 méditations pour la période grise à expérimenter :
1. Méditation pour un mental serein et des nerfs solides
Cette méditation calme et équilibre le mental, développe la patience, et renforce le système nerveux. Elle est particulièrement recommandée pour se prémunir de l'irrationalité, et pour apprendre à rester calme dans les situations qui nous confrontent.
Asseyez-vous en posture confortable, les jambes croisées. Étirez la colonne vertébrale, maintenez le dos droit, et rentrez légèrement le menton. Les yeux sont presque fermés.
Pour les hommes: posez la main gauche sur le giron, en buddhi mudra: les bouts du pouce et du petit doigt se touchent, les autres doigts sont tendus. Levez la main droite au niveau de l'oreille, paume vers l'avant, en surya mudra: les bouts du pouce et de l'annulaire se touchent, les autres doigts sont tendus vers le haut.
Pour les femmes, c'est l'inverse: posez la main droite sur le giron, en buddhi mudra: les bouts du pouce et du petit doigt se touchent, les autres doigts sont tendus. Levez la main gauche au niveau de l'oreille, paume vers l'avant, en surya mudra: les bouts du pouce et de l'annulaire se touchent, les autres doigts sont tendus vers le haut.
Dans tous les cas, faites en sorte que les ongles des doigts ne se touchent pas. Dans cette posture, respirez longuement et profondément, pendant 11 minutes. Jour après jour, vous pouvez augmenter le temps de pratique jusqu'à 31 minutes. Pour terminer, inspirez profondément, puis expirez. Levez les mains au dessus de la tête, doigts écartés, et secouez vigoureusement les bras et les mains pendant au moins une minute. Puis détendez-vous.
2. Méditation pour le confort intérieur et la satisfaction
Cette méditation vous fera vous sentir à l’aise et satisfait. Elle contribue à équilibrer le cerveau en renforçant votre capacité intérieure d'être en permanence en contact avec votre soi supérieur.
Asseyez-vous en posture confortable, les jambes croisées. Étirez la colonne vertébrale, maintenez le dos droit, et rentrez légèrement le menton.
Pour les femmes: connectez le bout du pouce et du majeur de la main gauche, et la bout du pouce et de l’auriculaire de la main droite, sans que les ongles ne se touchent.
Pour les hommes, c’est l’inverse: connectez le bout du pouce et du majeur de la main droite, et la bout du pouce et de l’auriculaire de la main gauche, sans que les ongles ne se touchent.
Détendez les épaules, et maintenez les mains devant la poitrine sans la toucher, distantes d’une vingtaine de centimètres, les doigts pointant vers l'avant.
Dans cette posture, détendez les paupières, et fermez les yeux presque complètement. Respirez longuement et profondément, et méditez ainsi pendant 11 minutes. Pour terminer, inspirez profondément, serrez les poings des deux mains pendant quelques secondes, puis expirez et détendez la posture.
3. Méditation pour la vivacité d’esprit
Confrontés à des circonstances inhabituelles, anormales ou que nous ne comprenons pas, notre réaction est souvent la même : stress, peur, panique, confusion, repli sur soi, agressivité… Mais nous pouvons répondre plutôt que réagir : cette méditation aide à développer l’attitude, la présence et les réponses adaptées à de telles circonstances, en neutralisant la partie centrale du cerveau et stimulant notre vivacité d’esprit.
Asseyez-vous en posture confortable, les jambes croisées. Étirez la colonne vertébrale, maintenez le dos droit, et rentrez légèrement le menton. Amenez la main gauche devant le haut de la poitrine, sans la toucher, la paume bien plate, tournée vers le côté. Faites « marcher » l'index et le majeur de la main droite : remonter le long de l’axe central de la paume gauche, entre le centre de la main jusqu'au bout du majeur et de l'annulaire, et puis descendez à reculons.
Détendez les paupières, et fermez les yeux presque complètement, et continuez ainsi, lentement et avec une forte pression sur la paume. Traversez la gêne, voire la douleur, ainsi occasionnée. Continuez pendant 11 minutes. Pour terminer, inspirez profondément, suspendez le souffle pendant quelques secondes, puis expirez et détendez la posture.
4. Méditation à faire quand rien d'autre ne fonctionne
Quand vous êtes à bout de nerfs, au bout du rouleau, quand vous ne savez pas quoi faire, quand rien d'autre ne fonctionne… cette méditation est efficace !
Asseyez-vous en posture confortable, les jambes croisées. Étirez la colonne vertébrale, maintenez le dos droit, et rentrez légèrement le menton.
Entrelacez les doigts en arrière. Détendez les épaules, placez ce mudra à la hauteur de centre de la poitrine sans la toucher, les paumes vers le haut, les doigts tendus, les pouces tendus vers l’avant.
Dans cette posture, détendez les paupières, et fermez les yeux presque complètement. Chantez le Gurū Gaitri Mantra :
gobinde mukande udāre apāre (« qui soutient, qui libère, qui nourrit, infini, )
harīang karīang nirnāme akāme (destructeur, créateur, sans nom, sans désir »)
Chantez le plus vite possible, jusqu'à ce que les mots soient à peine discernables. Laissez votre chant se transformer en un flux sonore continu. Commencez par 11 minutes. Puis, jour après jour, augmentez le temps de pratique jusqu'à un maximum de 31 minutes. Pour terminer, inspirez profondément, suspendez le souffle pendant quelques secondes, puis expirez et détendez la posture.
Lâcher prise ne veut pas dire tout abandonner, ne pas avoir d'envie ou renoncer à ses responsabilités.
Être capable de lâcher prise dans l'instant présent tout en cultivant des projets à moyen et long-terme sont et doivent être des actions compatibles.
Lâcher prise, ce n'est pas se résigner mais être conscient de ses limites.
Je vous propose un petit exercice afin de lâcher prise, ici et maintenant. Installez vous confortablement, fermez les yeux et commencez par quelques respirations longues et profondes en expirant par la bouche
Il s'agit d'un simple exercice de respiration.
Inspirez profondément par le nez et en même temps, visualisez la confiance entrer en vous.
Sentez la confiance rentrée par vos narines, puis passer dans vos poumons et se diffuser dans l'ensemble de votre corps. Chaque inspiration vous apporte de plus en plus de confiance. Quand le moment de l'expiration arrive, relâchez toutes les tensions que vous avez à l'intérieur de votre corps. A chaque expiration, vous relâcherez toutes ces pensées qui vous freinent, vous ralentit, vous paralysent.
Sur les prochaines respirations, ressentez de la joie vous envahir à chaque inspiration. Ressentez cette joie qui se diffuse à travers tout votre corps. En continuant à respirer consciemment, observez les sensations agréables, peut-être de la chaleur.
Maintenant, vous allez visualiser sur les prochaines expirations, tous les jugements que vous avez à l'intérieur s'échapper de vous. Visualisez les s'échapper de votre corps. vous pouvez les représenter par une couleur, si cela vous aide. Cela peut-être des jugements sur vous. Des jugements sur d'autres personnes. Laissez-les partir sur chaque expiration. Ils ne vous appartiennent pas.
Sur les prochaines inspirations, je vous invite à ressentir de la gratitude, pour toutes les belles choses que vous avez vécues, que vous vivez et que vous allez vivre dans votre vie.
Gratitude et remerciements pour ce moment de pause que vous êtes en train de vous offrir. Gratitude d'être là en vie, ici et maintenant, restez un moment avec ce sentiment à l'intérieur de vous.
Lors des prochaines expirations, visualisez les pensées qui vous attirent, qui ne vous appartiennent pas s'échapper de votre corps.
Ses croyances qui ne sont pas les vôtres. Elles quittent votre corps sur chaque expiration. Observez comment vous vous sentez. observer les sensations dans votre corps. ramener l'attention sur votre corps, sur la respiration, sur les bruits et les odeurs, dans l'instant présent.
Vous pouvez vous remercier d'avoir pris ce moment pour vous.
Je voulais vous apporter mon témoignage de mon expérience à la lecture de ce livre : les 5 blessures de Lise Bourbeau
En 2005, j'ai eu un accident de la circulation qui m'a immobilisée plusieurs mois. A ce moment là, mon Professeure de Yoga, est venu me rendre visite à mon domicile et m'a tendu ce livre, comme si elle me tendait la main.
A la lecture de ce livre, j'ai eu l'impression de connaître toutes ces blessures, mais en le relisant, certaines étaient plus présentes que d'autres. Le fait d'en prendre connaissance, d'en prendre conscience, de les accueillir, de les observer dans leur conséquence sur ma vie du moment m'a invitée d'une manière évidente à faire un travail sur moi. Cet accompagnement combiné aux stages proposé par L'Ecole du tantra m'ont permis de libérer les émotions enfouies depuis très longtemps.
Aussi je vous partage une petite synthèse de ces blessures et je vous recommande l'achat de ce livre.
Quand ces 5 BLESSURES sont en Voie de GUÉRISON, voici ce qui se passe en nous :
〰️ La blessure de REJET :
Est en voie de guérison lorsque tu prends de plus en plus ta place, que tu oses t'affirmer. En plus si quelqu'un semble oublier que tu existes, tu peux être quand même bien dans ta peau.
〰️ La blessure d'ABANDON :
Est en train de se rétablir lorsque tu te sens bien même si tu es seul et que tu recherches moins l'attention. Tu as de plus en plus envie de suivre tes projets et mêmes si certains ne t'appuient pas, tu peux continuer.
〰️ La blessure d'HUMILIATION :
Est en voie de guérison lorsque tu prends le temps de vérifier tes besoins avant de dire oui aux autres. Tu arrêtes de te créer des limites pour toi. Tu es capable également de faire des demandes sans te croire dérangeant.
〰️ La blessure de TRAHISON :
Est en voie de guérison lorsque tu ne vis plus autant d'émotions au moment où quelqu'un ou quelque chose vient déranger tes plans. Tu lâches prise plus facilement.
Tu ne cherches plus à être le centre d'attraction.
〰️ La blessure d'INJUSTICE :
Est en voie de guérison lorsque tu te permets d'être moins perfectionniste, de faire des erreurs sans vivre de colère ou de critique à toi-même. Tu t'accordes le droit de montrer ta sensibilité, de pleurer devant les autres sans perdre le contrôle et sans peur du jugement des autres.
Vous trouverez ci-après un schéma symbolisant ces 5 blessures très parlant.
Pour débuter ou approfondir votre pratique du Kundalini Yoga et ses respirations, je vous propose trois vidéos :
Ainsi, la première est une vidéo de présentation du Kundalini yoga que vous trouverez , avec des explications détaillés, en cliquant sur le lien.
Les éléments essentiels de ce yoga complet, seront expliqués, comme les postures, les respirations, les mantras, les mudras, les bandas etc....
Vous pourrez également comprendre, pourquoi et comment bien respirer, dans un cours de Yoga et dans votre quotidien, avec cette vidéo sur la respiration longue et profonde.
La respiration du feu est aussi une respiration de base et précieuse du Kundalini Yoga évoquée dans cette dernière vidéo.
Bien entendu, ces vidéos font l'objet d'exercice pratique.