la symbolique du corps

La Symbolique du corps

L’utilisation de la symbolique du corps, ses métaphores, est une pratique pour mettre des mots sur des maux et recevoir le message
de ce que le mal a dit.

Peut être une image de texte

Il s’en suit des corrections énergétiques, émotionnelles… pour permettre à la personne de s’aligner sur les besoins de son âme et permettre à l’énergie vitale de mieux circuler.
Pour décoder les Messages à travers la symbolique du corps, vous pouvez faire des recherches de Diane Leblanc, Michel ODOUL ou Jacques Martel.

Quelques questions à se poser pour mettre en lien le corps et l'esprit :

Se pourrait-il que notre âme se serve des sensations présentes dans notre corps pour nous inciter à mieux nous aimer et prendre davantage soin de nos parties sensibles ou vulnérables ?

Et si chaque bobo, douleur était une invitation à relever un nouveau défi, éveiller le potentiel sommeillant en nous, et déployer notre puissance à tous les niveaux?

Le fait d’accueillir chaque « mal-être » comme un « cadeau », une opportunité de reconnaître et activer notre lumière intérieure peut faire toute la différence entre souffrir et guérir… SA VIE!

Pour bien utiliser ce tableau ci- joint, il suffit de vous poser la question suivante :

Est-ce que j’accueille, je reconnais et j’accepte en conscience l’invitation de… (parties de mon corps) à… (voir message) ?

Pour un problème spécifique, je vous invite à prendre contact pour une consultation individuelle avec moi, si vous le souhaitez.

Bonne découverte… de vous !

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Les pranayamas

Les pranayamas

Les pranayamas

Les pranayamas sont une science de la respiration en yoga, une des pierres angulaires de la pratique du yoga.

Sa définition :

Le terme “Pranayama” est dérivé de deux mots sanskrits : “Prana”, qui signifie force vitale ou énergie vitale, et “Ayama”, qui signifie expansion ou extension.  Cette pratique consciente de la respiration permet de renforcer la capacité pulmonaire ainsi qu’à contrôler et diriger le prana, l’énergie vitale dans le corps.

Se pencher sur la pratique du Pranayama, c’est s’engager dans un processus de redécouverte de soi. En effet, chaque souffle devient un acte de conscience, un moment de connexion entre le corps, l’esprit et l’âme.

Il existe différents types de respiration :

diaphragmatique, thoracique et claviculaire. La respiration abdominale est la plus profonde et la plus relaxante. Le prana est cette énergie vitale que nous canalisons à travers la respiration. Dans le Pranayama, l’objectif est de maîtriser cette énergie, de l’amplifier et de la diriger pour harmoniser le corps et l’esprit.

Votre environnement joue un rôle important dans votre expérience du Pranayama. Choisissez un endroit calme, idéalement proche de la nature. La pièce doit être bien ventilée, mais sans courant d’air. Les accessoires comme un tapis confortable et un coussin de méditation aident à rendre votre pratique plus agréable et efficace.

La posture

Elle est essentielle pour faciliter une bonne respiration et une circulation optimale du prana. Assurez vous si vous êtes assis(e) que votre dos est droit, votre menton légèrement baissé et vos mains reposent sur vos genoux. Évitez de vous affaisser ou de trop tendre votre cou, car cela peut entraver votre respiration. Vous pouvez aussi vous allonger sur le dos, chaudement installé(e) dans une position d'ouverture dans les bras et les jambes, les yeux fermés.

la régularité est la clé pour maîtriser le Pranayama. Essayez de pratiquer le Pranayama tous les jours, même si ce n’est que pour quelques minutes. Avec le temps, non seulement vous remarquerez des améliorations dans votre pratique du yoga, mais aussi des bienfaits sur votre santé mentale, émotionnelle.

Le Pranayama est un chemin vers une meilleure connaissance de soi. C’est une invitation à prendre un moment pour soi, à écouter son corps et à ressentir le souffle de la vie qui nous traverse. En intégrant le Pranayama dans votre routine quotidienne, les bienfaits ne tarderont pas à se manifester dans tous les aspects de votre vie.

Je vous propose à présent d'écouter l'audio ci-dessous pour vous accompagner dans une méditation du souffle.

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Le vol d'énergie vitale

Le vol d’énergie vitale

Le vol d'énergie vitale

Le vol d'énergie vitale :

L’activité la plus répandue parmi les humains n’est peut-être pas celle que vous croyez. Aujourd'hui j'ai envie de partager ce qui est appelé le vol de l'Energie Vitale.

Nous sommes faits majoritairement d’énergie, sous des formes plus ou moins denses et nous en brûlons tous les jours. Lorsqu’on ne sait pas faire le plein de façon saine et naturelle, on en vole aux autres.

Les humains sont empêtrés dans cette lutte énergétique incessante et une concurrence inconsciente, qui expliquent bien des conflits, situations, et comportements. Dans son livre « La Prophétie des Andes », James Redfield décrit quatre mécanismes de vol d’énergie.

L’INTIMIDATEUR :

Il vole l’énergie en râlant de colère, opprimant, menaçant, imposant, frappant. La peur, en effet, vide le méridien des reins, siège du stock d’énergie vitale et de l’énergie originelle. L’Intimidateur n’a plus qu’à récupérer cette énergie qui s’échappe violemment et complètement.

L’INTERROGATEUR :

Il vole l’énergie en questionnant à tout propos. Les enfants utilisent inconsciemment cette technique. Les adultes l’utilisent par curiosité excessive, jalousie, pour trouver la faille et mieux rabaisser ou critiquer.

Ce mécanisme vide l’élément Terre (méridiens de l’Estomac et de la Rate), siège de la confiance en soi, le méridien de la Vésicule Biliaire (concentration, imagination, réflexion), et le méridien du Maitre du Cœur (interaction avec les autres), car ici les frontières personnelles sont violées.

L’INDIFFÉRENT :

Il vole l’énergie en se renfermant sur lui-même, laissant l’autre s’épuiser à le questionner et se demander ce qui ne va pas, voire à se sentir coupable. Cette technique vide les méridiens de l’Élément Terre (confiance en soi, anxiété/rate).

LE PLAINTIF :

Il vole l’énergie en se plaignant et en racontant ses malheurs à longueur de journée. Tout est noir, et il/elle a besoin de le faire savoir au monde entier pour aller mieux.

Et vous ? Durant cette lecture, étiez vous en train de mettre des noms sur ces profils,

(« Ça c’est exactement mon mari/compagnon ! », « Ah oui, ma mère fait tout le temps ça ! »…)…

Très bien ! Sachez reconnaître les voleurs d’énergie, petits et grands.

Mais à présent, réfléchissez à votre cas personnel. Vous reconnaissez vous dans l’une (ou plusieurs) de ces descriptions ?

Si oui, il est temps de changer de technique. Les relations avec votre entourage s’en porteront à merveille…

COMMENT ACCUMULER SANS VOLER ?

Comment accumuler de l’énergie sans la voler aux autres ? D’abord, il faut respirer profondément. Capter l’énergie des plantes (balades en forêt, plantes à la maison). Marcher pieds nus dans des lieux naturels, ou sur des matériaux naturels chauds (bois, laine). Manger des aliments vivants (fruits, légumes, graines germées, algues) et pourquoi pas, si ce n’est déjà fait découvrir le Kundalini Yoga pour vous régénérer.

Les chakras expliqués aux enfants

Les chakras expliqués aux enfants

Les chakras expliqués aux enfants

Les chakras expliqués aux enfants

circulation d'énergie dans les chakras

Vous trouverez ci-après un lien sur lequel cliquer, expliquant d'une manière très simple les chakras.

Sankalpa pour nourrir ses CHAKRAS

Chakra Racine : « Je suis proche de tout ce qui vit » « Je suis en confiance, solide et en sécurité » « Je subviens avec facilité à mes besoins vitaux »
« La Terre m’apporte son soutien »
Chakra Sacré : « J’honore mon corps » « Je mérite le plaisir et l’Abondance et je les accepte volontiers » « J’honore ma sensualité et je l’assume »
« Je mérite qu’il m’arrive des bonnes expériences »
Chakra du Plexus Solaire : « Je mérite qu’on m’aime, qu’on me respecte » « J’ai décidé d’aller de l’avant » « J'ose être ce que je suis »
« J’ai décidé d'évoluer » « Je suis un être spirituel et humain » « Je suis responsable de mes actes et pensées » « Je m'assume et je suis autonome » « Je mérite la vie dont je rêve et suis prêt(e) à l’accueillir »
Chakra du Cœur :« Je m'aime » « Je suis aimé(e) »   J’aime » « J’accepte l’Amour que me prodigue les autres et je le mérite » « C’est l’Amour qui motive mes choix » « Mon cœur est en paix » « Je partage l’Amour et la Lumière »
Chakra de la Gorge : « Je dis ce que j’ai à dire à haute voix et clairement » « Je suis à l'écoute » « J'exprime mes sentiments » « Je communique et je m'exprime avec facilité » « Je mérite d’être entendu(e) »
 Chakra du Troisième Œil : « Je m’ouvre à mes intuitions et à ma sagesse intérieure » « Je fais confiance à ma petite voix intérieure et suis ses conseils »
« Je me sers de mon intelligence et de mon intuition »
Chakra Couronne : « Je fais qu’un(e) avec le Divin » « Je suis relié(e) à la Source de la Connaissance Infinie » « J’accepte la Guidance Divine tout au long de ma vie
Source du texte : L'Être dans sa Globalité – Énergétique Page : ☥ Honorer le Féminin Sacré ☥💫

N'hésitez pas à venir faire l'expérience d'une séance de yoga pour favoriser la circulation d'énergie dans vos centres d'énergie. Voici le lien en cliquant dessus pour faire un  premier cours d'essai .

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les plus belles citations de Bouddha

Les plus belles citations inspirantes de Bouddha sur la vie

4:27 / 8:10 Les plus belles citations inspirantes de Bouddha sur la vie

Les plus belles citations inspirantes de Bouddha sur la vie

Vous trouverez ci-dessous un lien avec les plus belles citations inspirantes de Bouddha sur la vie.

elles sont inspirantes.

Si vous souhaitez donner du sens à votre vie, en devenant plus paisible et plus sage, alors venez faire l'expérience de vous déposer sur un tapis de Yoga.

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le pardon

Le Pardon

Le Pardon

Je vous propose cette réflexion sur le pardon écrit par Diane Gagnon qui est très intéressant.

Tant qu’on refuse de pardonner, on garde volontairement un lien très fort avec celui ou celle qui, d’après nous, nous a fait du malle pardon

Le pardon est un acte de libération qui permet à la personne qui a été blessée de se détacher émotionnellement de l’auteur de la blessure. En pardonnant, on accepte ce qui s’est passé et on renonce à la colère et au ressentiment. Cela permet de se libérer de l’emprise de la douleur et de retrouver un sentiment de paix intérieure.

Tant que nous ne pardonnons pas aux autres, nous rétrécissons notre capacité à aimer vraiment. Nous asséchons notre cœur en gardant rancune.

Tant que nous en voulons à l’autre, c’est à nous que nous faisons du mal. Pas à l’autre.

Pardonner ne signifie pas cautionner le geste que l’autre a commis ; cela ne veut pas dire que nous oublions ce qui a été fait ; cela ne signifie pas que ce n’était pas grave ce qui s’est passé.

Non. Pardonner, cela signifie que je m’aime assez pour me libérer des liens qui m’unissent à l’autre par mon manque de pardon. Cela signifie que je choisis de ME libérer de ce qui entrave mon bonheur. Cela signifie que dorénavant, ce qui s’est passé ne conditionnera plus mon présent pour m’empêcher d’être heureux, d’être bien.

Pardonner c’est voyager léger. C’est faire preuve de maturité. C’est prendre le dessus sur notre ego qui refuse de pardonner. Si on écoute notre ego dans ces cas-là, nous signons un passeport pour le malheur pour le reste de notre vie. Car notre ego refuse de pardonner, puisqu’il est toujours dans le jugement. Peu importe l’ampleur de la faute, peu importe son occurrence, peu importe notre douleur initiale, si nous ne pardonnons pas, nous ne nous libérons pas.

Et nous restons coincés au moment où ces événements se sont produits, continuant de nous faire souffrir dans le présent pour ce qui fait déjà partie du passé, mais que nous maintenons actuel en alimentant notre rancune, en revivant inlassablement les mêmes événements, en les racontant, en nous identifiant à eux.

C’est ce que vous avez envie de vivre pour le reste de vos jours ?

Vous aimerez-VOUS assez pour vous libérer de ce qui vous empêche d’être heureux ? Ou laisserez-vous votre rancune détruire le reste de votre vie ?

Évidemment, on ne doit pas rester dans ce qui nous fait souffrir ni tolérer l’intolérable ; nous sommes mieux de nous éloigner de tout ce qui est toxique pour nous ; on est plus sage si on évite les personnes qu’on sait qui pourraient nous blesser à nouveau. On ne retourne pas se jeter dans la gueule du loup !

Et pardonner ne signifie pas renouer avec celui ou celle qui nous a fait mal.

Quand on pardonne, pour de vrai, avec le cœur, on se libère du poids le plus lourd que nous puissions porter dans notre vie.

Prenez une roche pour chaque personne à qui vous refusez encore de pardonner, pour chaque événement. Traînez ces roches avec vous partout durant au moins 24 heures : quand vous mangez, quand vous dormez, quand vous vous brossez les dents, quand vous allez travailler, quand vous prenez votre bain, quand vous marchez, vous traînez toujours ces roches avec vous.

Au bout de la journée, vous serez épuisés de porter votre sac rempli de roches tellement lourdes qu’elles ne vous donnent plus le goût d’avancer.

Et bien c’est exactement ce qui se produit au niveau spirituel : tout ce que vous refusez de pardonner, ce sont des roches que votre âme traîne continuellement, ce qui lui enlève à elle aussi le goût d’avancer, ce qui la rend lourde et l’épuise. Vous vous surprenez de stagner dans votre vie ? Vous trouvez que certains aspects de votre vie vont mal ? Alors qu’avez-vous à pardonner ? À vous ? Aux autres ?

Vous seul détenez la clé de votre bonheur : le Pardon.

Vous voulez vivre libres et heureux ? Cela se résume en un seul mot : PARDONNEZ !

Si l’on refuse de pardonner, cela peut en effet maintenir un lien émotionnel avec la personne qui nous a fait du mal. On peut continuer à ressentir de la colère, de la tristesse ou de la frustration envers cette personne, ce qui peut affecter négativement notre bien-être émotionnel et notre relation avec elle.

Cependant, il est important de souligner que le pardon ne signifie pas nécessairement que l’on doit oublier ou justifier ce qui s’est passé. Le pardon peut se faire sans avoir besoin de renouer avec la personne ou d’oublier les actions qui ont été commises. Il s’agit plutôt d’un acte de guérison personnel qui permet de se libérer de la douleur émotionnelle associée à l’événement.

Comment réussir à pardonner ?

Le pardon est un processus personnel et différent pour chaque individu. Voici quelques étapes qui peuvent aider à cheminer vers le pardon :

Il est important de prendre le temps de reconnaître et d’accepter la douleur qui a été causée. Il est normal de ressentir de la colère, de la tristesse ou de la frustration.

Le pardon peut apporter des bienfaits pour la santé mentale et physique, comme réduire le stress, l’anxiété et la dépression. Prendre conscience de ces avantages peut motiver à poursuivre le processus de pardon.

Essayer de comprendre les raisons qui ont poussé l’autre à agir de cette manière peut aider à apaiser les sentiments de colère ou de ressentiment.

La compassion est un aspect clé du pardon. Il est important de se rappeler que tout le monde fait des erreurs et qu’il est normal de se sentir blessé. Il peut également être utile de pratiquer la compassion envers l’autre, en considérant qu’il ou elle a pu agir de manière inappropriée en raison de facteurs externes ou de circonstances difficiles.

Le pardon est une décision consciente et volontaire. Choisir de pardonner ne signifie pas nécessairement que l’on doit oublier ou justifier ce qui s’est passé. Cela signifie plutôt renoncer à la colère et au ressentiment, afin de pouvoir avancer.

Le pardon peut nécessiter de travailler sur le lâcher-prise, c’est-à-dire de relâcher le contrôle sur les émotions et de se détacher émotionnellement de l’événement.

Le processus de pardon peut prendre du temps et il est important d’être patient avec soi-même. Il peut être utile de chercher du soutien auprès de personnes de confiance, comme des amis ou un professionnel.

Vous pouvez me contacter Patricia au 06 71 18 42 62 ou hello@patriciapriat.fr

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Le mental

Le mental

Le mental

Et si nous nous intéressions au mental. il est un outil fabuleux pour fonctionner dans le monde, il doit être à notre service et pas nous au sien. Il peut être tyrannique et peut devenir un bourreau dans notre tête qui attaque et nous punit sans cesse, siphonnant ainsi notre énergie vitale. Cette voix appartient au conditionnement mental, qui est le fruit de nos histoires personnelles et celui de l’état d’esprit collectif et culturel dont nous avons hérité. Ainsi, nous voyons et jugeons dorénavant le présent à travers les yeux du passé et en avons une vision totalement déformée. Il est fréquent que, chez une personne, cette voix intérieure soit son pire ennemi.

Et si nous détricotions le mental....

LE MENTAL

Qu'y a t'il entre deux pensées ? Le silence de la présence.

Pourquoi nous est-il si difficile d'être ?

Le mental crée des pensées sans cesse car il n'aime pas l'inconnu que ce vide silencieux lui laisse entrevoir. C'est le même processus qui se passe lorsqu'on est avec quelqu'un et que personne ne dit mot. La plupart des gens commencent à ressentir un malaise dans cette non communication et le mental cherche par tous les moyens à fuir cela. Or, si on se laisse simplement aller à ressentir ce moment de silence, la communication passe par d'autres circuits.

On se sens juste bien d'être là, en ce moment, avec cette personne, sans toujours avoir besoin de mettre des mots qui nous coupent de ce que l'on ressent. Le mental a toujours besoin de combler le silence et entretient sans cesse une activité de fond. Cette activité mentale est fatigante mais on ne s'en rend même pas compte. C'est comme quand on est dans un lieu très bruyant, on s'habitue au fond sonore mais lorsque le silence se fait, tout d'un coup on ressent un calme et un bien être.

Le mental cherche toujours à garder le contrôle, car au fond c'est bien lui qui a crée au fil du temps ce que nous "pensons" être, notre ego, le sens du "moi".

Toutes nos opinions, nos croyances, nos valeurs, nos jugements, nos peurs, tout cela le mental l'a créé au travers de nos conditionnements sociaux, éducatifs, culturels et religieux.

Toutes les expériences vécues, bonnes ou mauvaises ont été analysées, passées au crible, filtrées et classées par le mental. Cela a créé et crée notre identité à laquelle on s'identifie sans cesse.
Que resterait-il s’il n'y avait plus rien de ce qui fait notre identité, si notre identité s'effaçait tout à coup ?

Il ne resterait que présence, l'être véritable que nous sommes.

Le mental n'aurai plus son mot à dire et il perdrait tout le pouvoir qu'il exerce sur nous et cela l'ego ne le veut pas, il résiste et il s'accroche. Cela ne veut pas dire que l'on perd notre identité, le sens du "je" ou du "moi". On utilise cette identité tout en restant observateur de celle-ci à partir de cet espace plus profond de nous-même, à partir de ce silence et de cette paix sereine.

Se placer en tant qu'observateur de nos pensées, nous fait prendre un peu de recul face aux événements, aux émotions, aux situations de la vie quotidienne. Observez comment le mental réagit face aux différentes situations. Placez-vous en observateur curieux.

Remarquez comme le mental est prompt à réagir, juger, étiqueter, analyser, créer des peurs inutiles et résister à ce que la vie vous offre dans l'instant présent.

Observez sans entrer dans le jeu du mental, n'analysez pas ce que vous observez, n'essayez pas de chasser vos pensées. C'est un accueil total de ce qui est, c'est un lâcher-prise sur ce qui est présent à l'instant en vous.

Prenez conscience de la différence entre l'agitation de la pensée et le calme de la présence.

Le mental a une forte tendance à résister à ce qui est, il lui est très difficile de lâcher prise. voir la vidéo sur le contrôle en cliquant sur le lien

Prenons un exemple concret :

Un individu est à la poste et il y a beaucoup de monde. Il s'impatiente, il aimerait que ça aille plus vite.

Son mental crée de la résistance face à cette situation. Il aimerait que cela se passe différemment, son mental résiste à ce qui est.

Cette résistance crée en lui de la négativité, une sensation de mal être et de stress l'envahit et cela rend la situation bien plus pénible encore. Pourquoi fait-il ça ?

L'individu n'en est même pas conscient. Choisirait-il consciemment de se créer du stress et de la négativité ? Non, c'est le mental inconscient qui crée cette résistance.

Inconsciemment, le mental croit qu'en résistant de la sorte, cela fera changer les choses.

Or, nous savons très bien que cela ne change rien de s'énerver. Nous nous faisons du mal à nous même en refusant d'accepter la réalité.

Le facteur temps du mental est une source de souffrance. Nous ramenons le passé dans l'instant présent en repensant et ressassant sans cesse des événements qui ne se sont pas déroulés tels que nous aurions souhaité et nous nous projetons dans le futur en nous demandant comment nous allons faire pour vivre avec ça ou sans ça.

Pour les événements heureux c'est la même chose, nous nous disons que plus jamais nous ne pourrons revivre ça et nous nous créons alors de la déprime, de la nostalgie ou un manque.

Cela crée en nous une anxiété, une angoisse face au futur et nous ratons complètement l'instant présent.

Voici un exemple :

Votre ami(e) vous a quitté et vous souffrez. Qu'est-ce qui provoque cette souffrance ?

Vous allez me dire que cette personne vous manque. Mais d'où provient ce manque ?

Ce manque prend naissance lorsque vous repensez à tous ces moments fabuleux partagés dans le passé, que vous ne revivrez plus et la souffrance est liée à l'identification au "moi".

Tout cela est lié au temps et la pensée en est le véhicule.

Voici un autre témoignage, celui du jardinier

Voici un arbre merveilleux mais qui a des branches qui ne présentent pas tous les signes de bonne santé et l'on peut voir ses feuilles refléter la grisaille de la souffrance qu'il porte. Le jardinier arrive et il tente de soigner une branche après l'autre mais tandis qu'il soigne une branche, celle qu'il venait de soigner auparavant retombe malade. Les jours passent et l'arbre reprend un semblant de bonne santé mais il reste toujours des branches qui ne guérissent pas.

Un autre jardinier arrive et lui demande pourquoi il ne va pas voir directement à la racine.

« Mais ce sont les branches qui sont malades » lui répond-il.

« Change lui la terre et arrose-le d'une eau claire », lui répond l'autre.

Le jardinier tente l'opération et en quelques jours toutes les branches de l'arbre retrouvent leur beauté naturelle.

Si je vous raconte cette histoire c'est parce que j'ai été ce premier jardinier qui s'est occupé pendant plusieurs années de soigner toutes les branches de mon être, en participant à des stages, des semaines entières. Nous allions à la rencontre de notre corps, de nos émotions, de notre énergie, de nos peurs, de nos blessures. Tout ce chemin se faisait par le toucher, le souffle, le dialogue, les feed-back, le tantra, la méditation, etc…

J'ouvrais une porte et il y en avait dix autres derrières. C'était sans fin et j'aurait pu y passer ma vie entière à tenter de tout décortiquer, de comprendre et de pardonner à chacune de mes blessures et en fin de compte ce n'était pas cela que je cherchais. Je ne cherchais pas à me sentir mieux ou à être plus heureux, je cherchais le silence et la paix.

Il m'est apparu que je tournais en rond et que jamais je ne trouverais la libération par ces moyens.

Alors voilà que le deuxième jardinier est apparu en moi et j'ai tout laissé tomber, c'est bien plus tard que j'ai compris son véritable message.

Etat de non mental

Il existe un sentier silencieux qui se faufile entre deux pensées et qui ouvre sur l'espace infini de la conscience et voilà que notre présence se révèle, elle est comme un océan limpide et clair d'où coule une source inépuisable d'amour. Alors les pensées s'inclinent et s'écartent pour laisser couler la lumière de la conscience dans toutes les parties de notre être, jusque dans les moindres cellules de notre corps. Cet Amour qui coule en nous soigne toutes les blessures et nous libère des chaînes du passé et du futur.

Le sentier silencieux existe bien, il est tellement simple et silencieux que la plupart des gens ne le voient pas ou ne sont tout simplement pas attirés par lui.

Ainsi, quand vous observez une pensée, vous êtes non seulement conscient de celle-ci, mais aussi de vous-même en tant que témoin de la pensée. À ce moment-là, une nouvelle dimension entre en jeu. Pendant que vous observez cette pensée, vous sentez pour ainsi dire une présence, votre moi profond, derrière elle ou sous elle. Elle perd alors son pouvoir sur vous et bat rapidement en retraite du fait que, en ne vous identifiant plus à elle, vous n’alimentez plus le mental. Ceci est le début de la fin de la pensée involontaire et compulsive.

Lorsqu’une pensée s’efface, il se produit une discontinuité dans le flux mental, un intervalle de « non-mental ». Au début, ces hiatus seront courts, peut-être de quelques secondes, mais ils deviendront peu à peu de plus en plus longs. Lorsque ces décalages dans la pensée se produisent, vous ressentez un certain calme et une certaine paix.

Vous pouvez vivre ces espaces de non-mental dans la pratique de Yoga, en récitant un mantra, en relaxation, en méditation, dans une marche consciente "Breathwalk, par exemple mais aussi dans n'importe quelle activité routinière.

Par exemple, chaque fois que vous montez ou descendez une volée de marches chez vous, portez attention à chacune des marches, à chaque mouvement et même à votre respiration. Soyez totalement présent. Ou bien lorsque vous vous lavez les mains, prenez plaisir à toutes les perceptions sensuelles qui accompagnent ce geste : le bruit et la sensation de l’eau sur la peau, le mouvement de vos mains, l’odeur du savon... Ou bien encore, une fois monté dans votre voiture et la portière fermée, faites une pause de quelques secondes pour observer le mouvement de votre respiration. Remarquez la silencieuse mais puissante sensation de présence qui se manifeste en vous. Un critère certain vous permet d’évaluer si vous réussissez ou non dans cette entreprise : le degré de paix que vous ressentez alors intérieurement.

 

acceptation de soi

Acceptation de Soi

Acceptation de soi.... Nous ne sommes pas ce que l'on croit

Je vous partage une explication très intéressante avec un exercice à la fin de Natacha JOUBERT, que vous trouverez en cliquant sur le lien ci-dessous.

L’ACCEPTATION DE SOI…n’est pas ce que l’on croit!

Il est effectivement important de mieux se connaître pour enfin mieux s'aimer et s'accepter pleinement et pour aimer les autres.

Citations sur l’amour de soi :

  • L’amour de soi passe par l’acceptation de soi. ~ Anonyme
  • J’apprends à m’aimer pour ce que je suis maintenant et non pour ce que je voudrais être. ~ Anonyme
  • Celui qui ne sait pas reconnaître sa propre valeur ne peut reconnaître la valeur des autres. ~ Anonyme
  • Aimer sans condition les humains, c’est la même chose que s’aimer soi-même sans condition. ~ Placide Gaboury
  • Apprenons à nous aimer afin que nous puissions être plus ouverts et compatissants envers les autres, et ainsi nous pouvons abattre les murs qui limitent qui nous pouvons être et ce que nous pouvons contribuer. ~ (Monde de psychologie)

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Yoga la voie du cœur reprise des cours

Les bonnes raisons de se mettre au yoga

Les bonnes raisons de se mettre au Yoga

Quand on a goûté à cette pratique du Yoga, on a forcément envie d'en parler, de la partager? Nous expliquons d'ailleurs souvent à nos proches les bonnes raisons de se mettre au Yoga pour les inviter à faire l'expérience.

Cette discipline est devenue à la mode et déclinée sous différents formats. Ce n'est pas une simple gymnastique et chacun trouvera son chemin pour revenir à l'intérieur de soi et découvrir "Qui il est".

Voici un article ci-dessous pour expliquer les bonnes raisons de se mettre au yoga. Je vous en souhaite une belle découverte si vous n'en n'avez jamais fait le pas...

https://www.ouest-france.fr/leditiondusoir/2022-11-28/le-yoga-booste-l-activite-du-cerveau-et-peut-ameliorer-la-sante-mentale-selon-la-science-21e7fc47-816e-4094-89bd-7e3860aedb0e

Vous pouvez venir essayer sur un cours d'essai gratuit et sans engagement et découvrir les lieux de pratique en cliquant sur le lien

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Les pranayamas

Respiration : technique de concentration

Respiration : technique de concentrationrespiration : technique de concentration

Les pranayamas ont de multiples bienfaits et représentent entre autres des techniques de concentration.

Aussi, je souhaite vous partager cette pratique  de respiration, permettant de purifier et équilibrer nos différents nadis.

Notre système nerveux, sympathique ou parasympathique peut être réharmonisé, juste par le souffle dans une respiration alternée en lien avec nos 2 hémisphères cérébraux.

En voici le détail :

  • Assis jambes croisées sur son coussin ou sur une chaise, colonne vertébrale redressée, le menton légèrement rentré
  • Bras droit plié et coude contre le flanc, majeur et index de la main droite sur l'espace entre les 2 sourcils, nommé 3ème œil,
  • Yeux fermés et concentrer entre les 2 sourcils en levant les yeux vers cette espace
  • Respiration : obturer narine gauche avec une pression délicate avec le pouce de la main droite pour inspirer par la narine gauche d'abord en un temps, retenir son souffle sur 4 temps puis libérer narine droite et venir presser la narine gauche avec l'annulaire de la main droite et expirer en 2 secondes. Puis, inspirer par la narine droite en 1 temps en gardant l'annulaire pressé sur narine gauche, retenir son souffle sur 4 temps puis libérer narine gauche et venir presser la narine droite avec le pouce de la main droite et expirer en 2 temps.
Effets et bienfaits : cet exercice de pranayama crée un nettoyage et équilibre les nadis Ida et Pingala. La narine gauche est traversée par Ida en lien avec le l'hémisphère droit du cerveau, correspondant à l'énergie lunaire et son principe féminin et donc le système nerveux parasympathique (pédale de frein). La narine droite est traversée par Pingala en lien avec le l'hémisphère gauche du cerveau, correspondant à l'énergie solaire et son principe masculin et donc le système nerveux sympathique (pédale d'accélérateur)

Je vous invite à observer combien cette technique ancestrale vise à contrôler le souffle afin de contrôler notre mental.

je vous souhaite une bonne pratique et n'hésitez pas à partager votre expérience.

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relaxation pour se recentrer

Relaxation pour vous recentrer

Relaxation pour vous recentrer

Prenez ce temps de relaxation nécessaire pour vous recentrer et vous régénérer, afin d'amener calme et détente à l'intérieur de vous

Allongé sur le dos, confortablement et chaudement installé, les yeux fermés, laissant la vie et la détente oeuvrer en vous, sans rien à faire ni penser, juste ressentir...

Les peurs et l'amour

Les peurs et l’amour

Les peurs et l'amour

Les Peurs et l'Amour

Vous trouverez ci-dessous, les Enseignement du Dalaï Lama sur les peurs et l’amour , mais aussi un lien sur lequel cliquer sur une vidéo vraiment très intéressante "Renaître"  qui aborde les peurs, les besoins, la loi d'attraction, la confiance.

On n'a pas peur de mourir mais on a peur de vivre alors plus de temps à perdre à chercher des excuses, à remettre à demain  à juger et à critiquer, juste le temps de vivre ses rêves et de vivre le meilleur maintenant.

S’il y a de la peur, c’est qu’il n’y a pas d’amour.

Quelque chose vous tracasse ? cherchez la peur.

Chaque fois qu’une émotion négative se présente à nous, il se cache derrière une peur.

En vérité, il n’y a que deux mots dans le langage de l’âme : la Peur et l’Amour.

La peur est l’énergie qui contracte, referme, attire, court, cache, entasse et blesse.

L’amour est l’énergie qui s’étend, s’ouvre, envoie, reste, révèle, partage et guérit.

La peur enveloppe nos corps dans les vêtements.

L’amour nous permet de rester nu.

La peur s’accroche et se cramponne à tout ce que nous avons.

L’amour donne tout ce que nous avons.

La peur retient.

L’amour chérit.

La peur empoigne.

L’amour lâche prise.

La peur laisse de la rancœur.

L’amour soulage.

La peur attaque.

L’amour répare.

Chaque pensée, parole ou action est fondée sur l’une ou l’autre émotion.

Tu n’as aucun choix à cet égard, car il n’y a pas d’autre choix.

Mais tu es libre de choisir entre les deux.

Ainsi, au moment où tu promets ton plus grand amour, tu accueilles ta plus grande peur car, aussitôt après avoir dit « je t’aime », tu t’inquiètes de ce que cet amour ne te soit retourné et, s’il l’est, tu te mets aussitôt à t’inquiéter de perdre l’amour que tu viens de trouver.

Cependant, si tu sais Qui Tu Es, tu n’auras jamais peur.

Car, qui pourrait rejeter une telle magnificence?

Mais si tu ne sais pas Qui Tu Es, alors tu te crois bien inférieur. Fais l’expérience glorieuse de Qui Tu Es vraiment et de Qui tu peux Être. Dalaï Lama

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