le role de la mémoire traumatique

Le rôle oublié de la mémoire traumatique_

Le rôle oublié de la mémoire traumatique : Pourquoi certaines douleurs ne guérissent pas 

Beaucoup de personnes souffrent encore aujourd’hui parce qu’elles ne comprennent pas ce qui se passe réellement en elles. Elles pensent avoir “pardonné”, “tourné la page”, “fait la paix”. Pourtant, leur corps raconte une toute autre histoire.

La mémoire traumatique n’est pas une idée abstraite. C’est un mécanisme neurologique bien réel : lorsque vous vivez un événement douloureux avec une forte charge émotionnelle, le cerveau l’enregistre de manière durable… et il peut se réactiver à tout moment.

Voici pourquoi certaines douleurs persistent pendant des années :

  1. L’événement n’a jamais été intégré, seulement enfoui.
    Vous avez avancé, vous avez survécu. Mais l’émotion n’a jamais été traversée.
    L’esprit a “oublié”. Le corps, lui, n’oublie jamais.
  2. Votre système nerveux s’est figé ce jour-là.
    Lorsque ni la fuite ni le combat ne sont possibles, le cerveau choisit la sidération : un état de gel intérieur.
    Tant que ce gel n’est pas libéré, une partie de vous reste coincée dans l’événement.
  3. L’émotion associée – peur, honte, colère – est encore vivante.
    Ce n’est pas l’histoire qui fait mal, mais ce que vous n’avez pas pu ressentir à ce moment-là.
  4. Vous vivez avec des déclencheurs invisibles.
    Un parfum, un ton de voix, un geste, une ambiance… Et la blessure se réactive automatiquement, sans que vous en soyez conscient·e.
  5. Une partie de votre identité s’est construite autour de la survie.
    Guérir impliquerait de devenir quelqu’un d’autre, d’abandonner une ancienne version de vous — ce qui peut être effrayant.

La mémoire traumatique n’est pas un signe de faiblesse.

C’est un appel profond : un besoin de justice, de vérité, de reconnaissance… et de réparation.

Rien ne s’efface tant que ce n’est pas compris, accueilli et transformé.

C’est précisément ce que je propose dans mes accompagnements individuels.

Grâce à la méthode EMDR et à un protocole précis, je vous aide à :

  • identifier la racine du trauma,
  • comprendre le mécanisme qui vous maintient dans la répétition,
  • libérer l’émotion bloquée,
  • réorganiser la conscience pour que le passé cesse de diriger votre présent.

La guérison n’a rien de magique.
Elle est logique, méthodique, profonde.

Et elle commence le jour où vous décidez d’écouter ce que votre corps tente de vous dire depuis si longtemps.

Si vous sentez que ce texte résonne en vous, je vous accueille avec douceur et bienveillance pour un accompagnement individuel.

👉 Prenez rendez-vous et faites le premier pas vers une guérison durable.

Patricia PRIAT
Coach certifiée RNCP niveau 1 - Linkup Coaching
Thérapeute certifiée - Ecole du Tantra
Professeure de Yoga - Ecole du Tantra
Site Web - www.patriciapriat.fr
Courriel - hello@patriciapriat.fr
Tél. : 06 71 18 42 62

Ne te compare jamais

Ne te compare jamais

Ne te compare jamais

Il y a des phrases qui font mal comme une gifle en pleine figure. Et il y a des phrases qui détruisent et qui reste ancré bien profond au creux de ton âme pour le reste de ta vie. « Pourquoi t’es pas comme ton frère? » « Regarde donc ta cousine, elle comme elle est bonne. » « Ton ami est bien tellement meilleur que toi… »

Ce sont des phrases tellement destructrices qui te font perdre ton estime de toi.  Un enfant construit son estime dans les yeux de ses parents, et ses phrases là, lui font perdre complètement son estime de lui. Ces phrases là… ça ne se remarque pas toujours. Ça ne laisse pas de bleus sur la peau. Mais ça fait des trous dans l’âme pour le reste de tes jours. Et souvent, ce sont des mots hérités qu’on utilise tous les jours inconsciemment. Ce sont des mots tellement violents, invisibles et acceptables, qui n’ont aucunement l’air de mots méchants.

On se dit, c’est juste de l’indifférence. Et l’indifférence, mon ami, ma belle amie, tiens toi bien c’est : l’arme de destruction massive la plus silencieuse du monde. Parce que quand un enfant se fait comparer, il arrête d’être lui-même. Il se met à se regarder comme s’il était “trop” ou “pas assez”.

Et tout doucement…il disparaît à l’intérieur lui, pour devenir la personne qu’il croit que les autres veulent qu’ils soient, afin d’être à la hauteur et assez aimable. Aujourd’hui, on va parler de ça. De ce poison invisible. De cette douleur qu’on normalise. De cette blessure qu’on traine tout au long de notre vie, même devenu adulte, elle nous habite encore. Et surtout on va parler de la guérison de cette blessure et de la lumière qui revient, un petit pas à la fois lorsqu’on est capable de s’en débarrasser.

Le poids d’une comparaison

Un enfant, c’est très fragile. Même si ça rit fort. Même si ça saute partout. Même si ça semble solide. Un enfant, ça se construit avec les yeux de ses parents. Avec leurs mots. Avec leurs regard. Avec la façon dont ils disent : « Je te vois. Tu comptes. Tu existes pour vrai. » Quand un parent compare son enfant à quelqu’un d’autre, il brise son estime de soi en mille morceaux. L’enfant entend l’inverse de ce que le parent veut dire. Pour lui, il entend : « Tu n’es pas assez pour moi. Tu dois être quelqu’un d’autre pour mériter mon amour. » Et là…le cœur se fend. Comme une petite fissure dans une vitre. Mais une fissure qui ne guérit pas toute seule.

La comparaison, c’est la pire forme d’indifférence qui existe, et c’est la blessure qui va le projeter directement en enfer. L’enfer du :

  • du rejet
  • de l’abandon
  • de la trahison
  • de l’injustice
  • de l’humiliation
  • et de la perte totale de son estime

Et tout ça dans une seule phrase. Oui. Une seule !!!

Quand l’enfant apprend qu’il n’est jamais “assez”,  L’enfant regarde son parent. Et dans ses yeux, il veut voir : « Maudit que t’es correct, toi. »

Mais, si les yeux des parents sont vides et indifférents en plus d’être tournés vers l’autre enfant, alors l’enfant ressent quelque chose de terrible : Il se sent complètement invisible et pas aimable. Et là, il se dit tristement : « Si j’étais comme mon frère, peut-être qu’on m’aimerait. » « Si j’étais comme ma sœur, peut-être qu’on me verrait. » « Si j’étais différent… peut-être que je serais enfin correct. » C’est là que la blessure se crée, parce que tu sais que quelque part en toi : Un enfant ne se construit pas avec des comparaisons. Un enfant, ça se construit avec de la reconnaissance.

Les dégâts silencieux, à longs termes. Quand l’enfant grandit, cette douleur ne disparaît pas. Elle change de forme. Elle devient :

  • l’envie de plaire à tout le monde
  • la peur de décevoir
  • la peur d’être abandonné
  • la sensation de ne jamais être “assez à la hauteur ”
  • la honte de soi
  • le besoin de performer pour être aimé
  • le besoin d’être parfait
  • le sentiment d’être inférieur à tout le monde
  • la jalousie pas méchante, mais juste souffrante
  • la fatigue de se comparer sans arrêt

Il devient un adulte qui perçoit les autres comme ayant tout, tandis que lui n’a jamais rien. Il ne saura jamais apprécier ce qu’il a. Un adulte qui mesure sa valeur à travers le regard des autres. Un adulte qui continue à porter malgré lui ce : «Pourquoi? » qu’on lui a lancé lorsqu’il était seulement qu’un enfant en évolution. La comparaison, c’est destructeur. Ça brise des ailes, ça éteint les lumières et ça démantèle l’identité.

La vérité que personne ne lui révèle. Un jour, cet enfant là devenu adulte comprend quelque chose d’immense :

La personne à qui il se compare : N’a jamais vécu sa vie. N’a jamais porté sa douleur. N’a jamais marché dans ses souliers. N’a jamais survécu à ce qu’il a survécu. Et soudainement. Il réalise qu’il est peut-être plus fort que ce qu’il a toujours cru. Il est plus résilient. Il est plus grand. Il est plus beau, à sa manière. Parce que comparer une fleur à une autre, c’est oublier que chacune pousse à sa manière, à sa vitesse, dans sa terre, avec son soleil et avec ses blessures aussi.

L’enfant intérieur qui recommence à respirer

Quand tu arrêtes de te comparer, il se passe quelque chose de magique. Ton enfant intérieur lève la tête. Il te regarde doucement. Il te murmure à l’oreille : « Enfin… tu me vois. Celui que je suis présentement. Le vrai : Moi. » Pas l’autre. « Pas celui qu’on voulait que je sois. Mais le vrai : Moi. » Et tu ressens pour la première fois un petit souffle de douceur et de liberté. Comme un petit papillon doré qui sort de sa coquille. Comme un rayon de lumière qui traverse une fissure dans un mur. Parce que tu existes pour vrai. Et tu es à la hauteur.  À ta manière. Avec ton histoire. Avec tes cicatrices. Avec ta merveilleuse lumière.

Pourquoi il ne faut jamais se comparer

Parce que se comparer, c’est se diminuer soi-même. C’est dire à ton cœur : « Ce que tu es… ce n’est pas suffisant. » C’est de reproduire en toi la même indifférence que tu as déjà vécu dans ton enfance. C’est te regarder avec les mêmes yeux vides qui t’ont blessé enfant. Et tu mérites tellement mieux que ça.

Tu mérites :

  • des yeux qui te voient
  • une place qui t’appartient
  • une fierté qui vient de toi
  • une douceur qui guérit
  • une lumière qui t’élève
  • une estime réelle, solide, stable
  • et surtout…

Le droit d’être seulement toi et juste toi pour qui tu es.

Conclusion

Tu n’es pas né pour être comme quelqu’un d’autre. Tu n’es pas né pour courir après l’amour. Tu n’es pas né pour te comparer à tout le monde. Tu es né pour te réaliser. Pour te découvrir. Pour devenir la plus belle version de toi-même. Tu sais : Celle qui a survécu à tout. Celle qui continue d’avancer. Celle qui mérite enfin de se regarder dans le miroir et de dire : « Maudit que t’es correct, toi… exactement comme tu es. »

Et si ce texte t’a touché…

souviens-toi : toi aussi, tu peux toucher le cœur de quelqu’un d’autre. Message émotive-choc à mettre après chaque texte Si ces mots ont mis de la lumière sur quelque chose en toi,0 si tu t’es senti moins seul, si ça t’a fait réfléchir ou ça t’a fait du bien, offre ce cadeau à quelqu’un d’autre : partage-le. Tu pourrais changer la journée — ou même la vie — de quelqu’un. On ne sait jamais qui a besoin de ces mots-là aujourd’hui. Merci…. pour toi, et pour tous ceux qui liront ce texte grâce à toi.

Daniel Lamontagne

L'enfant caméléon : celui qui a oublié sa propre couleur

L’enfant caméléon : celui qui a oublié sa propre couleur

L’enfant caméléon : celui qui a oublié sa propre couleur

Nous portons tous en nous un enfant qui, un jour, a appris à se taire pour ne pas déranger, à sourire pour apaiser, à s’adapter pour survivre. Cet enfant, on pourrait l’appeler l’enfant caméléon, celui qui a oublié sa propre couleur.

Il a grandi en apprenant à changer de couleur pour être aimé, jusqu’à oublier la sienne. Cet article, inspiré du texte puissant de Daniel Lamontagne « Le Poids du silence », nous invite à reconnaître cet enfant intérieur et à lui redonner la permission d’exister.

🪞 L’enfant qui s’adapte pour survivre

Quand l’amour semble conditionnel, l’enfant apprend très tôt à décoder les visages, les voix, les silences. Il devient un radar émotionnel, toujours en alerte, prêt à changer de couleur pour éviter la tempête.
Ce n’est pas un jeu, mais un mécanisme de survie. Derrière le calme apparent se cache la peur. Derrière la gentillesse, le besoin désespéré d’être accepté.

🎭 Le masque du petit parfait

Le petit caméléon devient vite un enfant modèle. Celui dont tout le monde dit : « Quel enfant facile ! ».  Mais ce calme cache un cri silencieux. À force d’être celui qu’on attend, il oublie qui il est. Il apprend à mériter l’amour, sans jamais croire qu’il le mérite simplement pour ce qu’il est.

💔 De l’enfant blessé à l’adulte adaptatif

L’enfant caméléon devient un adulte qui se fond dans les attentes des autres. Il s’efface dans ses relations, croit aimer mais ne fait que s’adapter.
Il devient sauveur, fort, silencieux, parfait — tout sauf lui-même. Et un jour, il se regarde dans le miroir… et ne se reconnaît plus.

🌧️ Le jour où tout craque

Ce jour-là, il comprend qu’il a vécu dans un costume trop serré. Ce n’est pas l’amour qui l’a sauvé, mais l’espoir de l’amour.
Et dans le silence, une petite voix se remet à parler : « Tu n’as plus besoin de changer de couleur pour exister. » C’est le début de la guérison.

🌱 La reconstruction : réapprendre à être soi

Retrouver sa couleur, c’est un chemin. Il faut réapprendre à sentir, à dire non, à poser des limites, à se plaire à soi-même.
Chaque pas est douloureux, mais chaque pas est une victoire. En cessant de plaire pour être aimé, on découvre la paix d’être simplement soi.

🌈 Retrouver sa vraie couleur

Sous les couches de peur et d’adaptation, notre vraie couleur n’a jamais disparu. Elle est douce, vibrante, imparfaite, mais vraie.
Elle ne plaît pas à tout le monde — mais elle nous plaît, à nous. Et c’est cela, la liberté.

🌻 Conclusion : la main tendue à l’enfant intérieur

Nous sommes nombreux à porter en nous cet enfant caméléon. Mais aujourd’hui, il est temps de lui tendre la main, de lui dire : « Tu peux sortir maintenant. Tu n’as plus besoin d’avoir peur. Tu peux vivre, respirer et aimer dans ta vraie couleur. »

✨ Phrase d’espoir

Et si, aujourd’hui, tu laissais enfin ton cœur montrer sa couleur, celle qu’il a toujours cachée ?

Et si tu as besoin d'une aide extérieure, alors n'hésite pas à me contacter, Patricia au 06 71 18 42 62 ou mail :  hello@patriciapriat.fr

Om gurudev jai jai om gurudev

Om Gurudev Jai Jai Gurudev

Om Gurudev Jai Jai Gurudev

Mantra Om Gurudev Jai Jai Gurudev

Une offre de gratitude

Jai = « joie, salut, gloire à »
Guru = « celui qui dissipe les ténèbres »
Deva = « celui qui brille », source du mot anglais « divin ».

Ainsi, la signification de « Jai Guru Deva » est littéralement « Gloire à celui qui efface les ténèbres ». 

L'expression « Jai Guru Deva » est devenue une salutation, une bénédiction, une salutation, 

la symbolique du corps

La Symbolique du corps

L’utilisation de la symbolique du corps, ses métaphores, est une pratique pour mettre des mots sur des maux et recevoir le message
de ce que le mal a dit.

Peut être une image de texte

Il s’en suit des corrections énergétiques, émotionnelles… pour permettre à la personne de s’aligner sur les besoins de son âme et permettre à l’énergie vitale de mieux circuler.
Pour décoder les Messages à travers la symbolique du corps, vous pouvez faire des recherches de Diane Leblanc, Michel ODOUL ou Jacques Martel.

Quelques questions à se poser pour mettre en lien le corps et l'esprit :

Se pourrait-il que notre âme se serve des sensations présentes dans notre corps pour nous inciter à mieux nous aimer et prendre davantage soin de nos parties sensibles ou vulnérables ?

Et si chaque bobo, douleur était une invitation à relever un nouveau défi, éveiller le potentiel sommeillant en nous, et déployer notre puissance à tous les niveaux?

Le fait d’accueillir chaque « mal-être » comme un « cadeau », une opportunité de reconnaître et activer notre lumière intérieure peut faire toute la différence entre souffrir et guérir… SA VIE!

Pour bien utiliser ce tableau ci- joint, il suffit de vous poser la question suivante :

Est-ce que j’accueille, je reconnais et j’accepte en conscience l’invitation de… (parties de mon corps) à… (voir message) ?

Pour un problème spécifique, je vous invite à prendre contact pour une consultation individuelle avec moi, si vous le souhaitez.

Bonne découverte… de vous !

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Le vol d’énergie vitale

Le vol d'énergie vitale

Le vol d'énergie vitale :

L’activité la plus répandue parmi les humains n’est peut-être pas celle que vous croyez. Aujourd'hui j'ai envie de partager ce qui est appelé le vol de l'Energie Vitale.

Nous sommes faits majoritairement d’énergie, sous des formes plus ou moins denses et nous en brûlons tous les jours. Lorsqu’on ne sait pas faire le plein de façon saine et naturelle, on en vole aux autres.

Les humains sont empêtrés dans cette lutte énergétique incessante et une concurrence inconsciente, qui expliquent bien des conflits, situations, et comportements. Dans son livre « La Prophétie des Andes », James Redfield décrit quatre mécanismes de vol d’énergie.

L’INTIMIDATEUR :

Il vole l’énergie en râlant de colère, opprimant, menaçant, imposant, frappant. La peur, en effet, vide le méridien des reins, siège du stock d’énergie vitale et de l’énergie originelle. L’Intimidateur n’a plus qu’à récupérer cette énergie qui s’échappe violemment et complètement.

L’INTERROGATEUR :

Il vole l’énergie en questionnant à tout propos. Les enfants utilisent inconsciemment cette technique. Les adultes l’utilisent par curiosité excessive, jalousie, pour trouver la faille et mieux rabaisser ou critiquer.

Ce mécanisme vide l’élément Terre (méridiens de l’Estomac et de la Rate), siège de la confiance en soi, le méridien de la Vésicule Biliaire (concentration, imagination, réflexion), et le méridien du Maitre du Cœur (interaction avec les autres), car ici les frontières personnelles sont violées.

L’INDIFFÉRENT :

Il vole l’énergie en se renfermant sur lui-même, laissant l’autre s’épuiser à le questionner et se demander ce qui ne va pas, voire à se sentir coupable. Cette technique vide les méridiens de l’Élément Terre (confiance en soi, anxiété/rate).

LE PLAINTIF :

Il vole l’énergie en se plaignant et en racontant ses malheurs à longueur de journée. Tout est noir, et il/elle a besoin de le faire savoir au monde entier pour aller mieux.

Et vous ? Durant cette lecture, étiez vous en train de mettre des noms sur ces profils,

(« Ça c’est exactement mon mari/compagnon ! », « Ah oui, ma mère fait tout le temps ça ! »…)…

Très bien ! Sachez reconnaître les voleurs d’énergie, petits et grands.

Mais à présent, réfléchissez à votre cas personnel. Vous reconnaissez vous dans l’une (ou plusieurs) de ces descriptions ?

Si oui, il est temps de changer de technique. Les relations avec votre entourage s’en porteront à merveille…

COMMENT ACCUMULER SANS VOLER ?

Comment accumuler de l’énergie sans la voler aux autres ? D’abord, il faut respirer profondément. Capter l’énergie des plantes (balades en forêt, plantes à la maison). Marcher pieds nus dans des lieux naturels, ou sur des matériaux naturels chauds (bois, laine). Manger des aliments vivants (fruits, légumes, graines germées, algues) et pourquoi pas, si ce n’est déjà fait découvrir le Kundalini Yoga pour vous régénérer.

le pardon

Le Pardon

Le Pardon

Je vous propose cette réflexion sur le pardon écrit par Diane Gagnon qui est très intéressant.

Tant qu’on refuse de pardonner, on garde volontairement un lien très fort avec celui ou celle qui, d’après nous, nous a fait du malle pardon

Le pardon est un acte de libération qui permet à la personne qui a été blessée de se détacher émotionnellement de l’auteur de la blessure. En pardonnant, on accepte ce qui s’est passé et on renonce à la colère et au ressentiment. Cela permet de se libérer de l’emprise de la douleur et de retrouver un sentiment de paix intérieure.

Tant que nous ne pardonnons pas aux autres, nous rétrécissons notre capacité à aimer vraiment. Nous asséchons notre cœur en gardant rancune.

Tant que nous en voulons à l’autre, c’est à nous que nous faisons du mal. Pas à l’autre.

Pardonner ne signifie pas cautionner le geste que l’autre a commis ; cela ne veut pas dire que nous oublions ce qui a été fait ; cela ne signifie pas que ce n’était pas grave ce qui s’est passé.

Non. Pardonner, cela signifie que je m’aime assez pour me libérer des liens qui m’unissent à l’autre par mon manque de pardon. Cela signifie que je choisis de ME libérer de ce qui entrave mon bonheur. Cela signifie que dorénavant, ce qui s’est passé ne conditionnera plus mon présent pour m’empêcher d’être heureux, d’être bien.

Pardonner c’est voyager léger. C’est faire preuve de maturité. C’est prendre le dessus sur notre ego qui refuse de pardonner. Si on écoute notre ego dans ces cas-là, nous signons un passeport pour le malheur pour le reste de notre vie. Car notre ego refuse de pardonner, puisqu’il est toujours dans le jugement. Peu importe l’ampleur de la faute, peu importe son occurrence, peu importe notre douleur initiale, si nous ne pardonnons pas, nous ne nous libérons pas.

Et nous restons coincés au moment où ces événements se sont produits, continuant de nous faire souffrir dans le présent pour ce qui fait déjà partie du passé, mais que nous maintenons actuel en alimentant notre rancune, en revivant inlassablement les mêmes événements, en les racontant, en nous identifiant à eux.

C’est ce que vous avez envie de vivre pour le reste de vos jours ?

Vous aimerez-VOUS assez pour vous libérer de ce qui vous empêche d’être heureux ? Ou laisserez-vous votre rancune détruire le reste de votre vie ?

Évidemment, on ne doit pas rester dans ce qui nous fait souffrir ni tolérer l’intolérable ; nous sommes mieux de nous éloigner de tout ce qui est toxique pour nous ; on est plus sage si on évite les personnes qu’on sait qui pourraient nous blesser à nouveau. On ne retourne pas se jeter dans la gueule du loup !

Et pardonner ne signifie pas renouer avec celui ou celle qui nous a fait mal.

Quand on pardonne, pour de vrai, avec le cœur, on se libère du poids le plus lourd que nous puissions porter dans notre vie.

Prenez une roche pour chaque personne à qui vous refusez encore de pardonner, pour chaque événement. Traînez ces roches avec vous partout durant au moins 24 heures : quand vous mangez, quand vous dormez, quand vous vous brossez les dents, quand vous allez travailler, quand vous prenez votre bain, quand vous marchez, vous traînez toujours ces roches avec vous.

Au bout de la journée, vous serez épuisés de porter votre sac rempli de roches tellement lourdes qu’elles ne vous donnent plus le goût d’avancer.

Et bien c’est exactement ce qui se produit au niveau spirituel : tout ce que vous refusez de pardonner, ce sont des roches que votre âme traîne continuellement, ce qui lui enlève à elle aussi le goût d’avancer, ce qui la rend lourde et l’épuise. Vous vous surprenez de stagner dans votre vie ? Vous trouvez que certains aspects de votre vie vont mal ? Alors qu’avez-vous à pardonner ? À vous ? Aux autres ?

Vous seul détenez la clé de votre bonheur : le Pardon.

Vous voulez vivre libres et heureux ? Cela se résume en un seul mot : PARDONNEZ !

Si l’on refuse de pardonner, cela peut en effet maintenir un lien émotionnel avec la personne qui nous a fait du mal. On peut continuer à ressentir de la colère, de la tristesse ou de la frustration envers cette personne, ce qui peut affecter négativement notre bien-être émotionnel et notre relation avec elle.

Cependant, il est important de souligner que le pardon ne signifie pas nécessairement que l’on doit oublier ou justifier ce qui s’est passé. Le pardon peut se faire sans avoir besoin de renouer avec la personne ou d’oublier les actions qui ont été commises. Il s’agit plutôt d’un acte de guérison personnel qui permet de se libérer de la douleur émotionnelle associée à l’événement.

Comment réussir à pardonner ?

Le pardon est un processus personnel et différent pour chaque individu. Voici quelques étapes qui peuvent aider à cheminer vers le pardon :

Il est important de prendre le temps de reconnaître et d’accepter la douleur qui a été causée. Il est normal de ressentir de la colère, de la tristesse ou de la frustration.

Le pardon peut apporter des bienfaits pour la santé mentale et physique, comme réduire le stress, l’anxiété et la dépression. Prendre conscience de ces avantages peut motiver à poursuivre le processus de pardon.

Essayer de comprendre les raisons qui ont poussé l’autre à agir de cette manière peut aider à apaiser les sentiments de colère ou de ressentiment.

La compassion est un aspect clé du pardon. Il est important de se rappeler que tout le monde fait des erreurs et qu’il est normal de se sentir blessé. Il peut également être utile de pratiquer la compassion envers l’autre, en considérant qu’il ou elle a pu agir de manière inappropriée en raison de facteurs externes ou de circonstances difficiles.

Le pardon est une décision consciente et volontaire. Choisir de pardonner ne signifie pas nécessairement que l’on doit oublier ou justifier ce qui s’est passé. Cela signifie plutôt renoncer à la colère et au ressentiment, afin de pouvoir avancer.

Le pardon peut nécessiter de travailler sur le lâcher-prise, c’est-à-dire de relâcher le contrôle sur les émotions et de se détacher émotionnellement de l’événement.

Le processus de pardon peut prendre du temps et il est important d’être patient avec soi-même. Il peut être utile de chercher du soutien auprès de personnes de confiance, comme des amis ou un professionnel.

Vous pouvez me contacter Patricia au 06 71 18 42 62 ou hello@patriciapriat.fr

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acceptation de soi

Acceptation de Soi

Acceptation de soi.... Nous ne sommes pas ce que l'on croit

Je vous partage une explication très intéressante avec un exercice à la fin de Natacha JOUBERT, que vous trouverez en cliquant sur le lien ci-dessous.

L’ACCEPTATION DE SOI…n’est pas ce que l’on croit!

Il est effectivement important de mieux se connaître pour enfin mieux s'aimer et s'accepter pleinement et pour aimer les autres.

Citations sur l’amour de soi :

  • L’amour de soi passe par l’acceptation de soi. ~ Anonyme
  • J’apprends à m’aimer pour ce que je suis maintenant et non pour ce que je voudrais être. ~ Anonyme
  • Celui qui ne sait pas reconnaître sa propre valeur ne peut reconnaître la valeur des autres. ~ Anonyme
  • Aimer sans condition les humains, c’est la même chose que s’aimer soi-même sans condition. ~ Placide Gaboury
  • Apprenons à nous aimer afin que nous puissions être plus ouverts et compatissants envers les autres, et ainsi nous pouvons abattre les murs qui limitent qui nous pouvons être et ce que nous pouvons contribuer. ~ (Monde de psychologie)

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Les peurs et l'amour

Les peurs et l’amour

Les peurs et l'amour

Les Peurs et l'Amour

Vous trouverez ci-dessous, les Enseignement du Dalaï Lama sur les peurs et l’amour , mais aussi un lien sur lequel cliquer sur une vidéo vraiment très intéressante "Renaître"  qui aborde les peurs, les besoins, la loi d'attraction, la confiance.

On n'a pas peur de mourir mais on a peur de vivre alors plus de temps à perdre à chercher des excuses, à remettre à demain  à juger et à critiquer, juste le temps de vivre ses rêves et de vivre le meilleur maintenant.

S’il y a de la peur, c’est qu’il n’y a pas d’amour.

Quelque chose vous tracasse ? cherchez la peur.

Chaque fois qu’une émotion négative se présente à nous, il se cache derrière une peur.

En vérité, il n’y a que deux mots dans le langage de l’âme : la Peur et l’Amour.

La peur est l’énergie qui contracte, referme, attire, court, cache, entasse et blesse.

L’amour est l’énergie qui s’étend, s’ouvre, envoie, reste, révèle, partage et guérit.

La peur enveloppe nos corps dans les vêtements.

L’amour nous permet de rester nu.

La peur s’accroche et se cramponne à tout ce que nous avons.

L’amour donne tout ce que nous avons.

La peur retient.

L’amour chérit.

La peur empoigne.

L’amour lâche prise.

La peur laisse de la rancœur.

L’amour soulage.

La peur attaque.

L’amour répare.

Chaque pensée, parole ou action est fondée sur l’une ou l’autre émotion.

Tu n’as aucun choix à cet égard, car il n’y a pas d’autre choix.

Mais tu es libre de choisir entre les deux.

Ainsi, au moment où tu promets ton plus grand amour, tu accueilles ta plus grande peur car, aussitôt après avoir dit « je t’aime », tu t’inquiètes de ce que cet amour ne te soit retourné et, s’il l’est, tu te mets aussitôt à t’inquiéter de perdre l’amour que tu viens de trouver.

Cependant, si tu sais Qui Tu Es, tu n’auras jamais peur.

Car, qui pourrait rejeter une telle magnificence?

Mais si tu ne sais pas Qui Tu Es, alors tu te crois bien inférieur. Fais l’expérience glorieuse de Qui Tu Es vraiment et de Qui tu peux Être. Dalaï Lama

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kundalini yoga et bain traditionnel de gong le 11 février 2024

Sonothérapie et massage sonore

Sonothérapie et massage sonore avec un bain de gong traditionnel

Et voilà, la science s'intéresse à la Sonothérapie et massage sonore avec les vibrations des sons. En effet, le son a un effet anxiolytique et antidouleur reconnu. Les vibrations sonores vont être captées par des milliers de petits récepteurs sensoriels localisés sous la peau, appelés corpuscules de Pacini. Ces récepteurs transmettent les vibrations sonores à la moelle épinière et au cerveau. Ceux-ci vont décharger des hormones comme la sérotonine, la dopamine et l'ocytocine. Ce qui a un impact favorable sur notre bien-être. "

La synchronicité est parfaite car cyrille et moi même nous sommes formés au bain de gong traditionnel chez Anahata Gong School

Aussi n'hésitez pas à venir faire l'expérience en consultant les évènements proposés.

Les  bonhommes allumettes

Les bonhommes Allumettres

Les  bonhommes allumettes

Les  bonhommes allumettes, voici un outil créé par Jacques Martel, auteur du grand dictionnaire des malaises et maladies que je propose dans mes accompagnement pour se libérer des émotions négatives. Il est simple et efficace, pouvant être utilisé par tous, pour couper avec des liens d'attachement toxiques.

Cela nous permet d'avoir un regard plus lucide, d'avoir plus de clairvoyance dans nos liens d'attachements et nos sentiments d'amour avec la prise de recul.

Nous avons besoin  de sortit toutes nos pensées négatives de notre tête en dessinant ou en écrivant pour sortir de la confusion du mental.

Le matériel nécessaire est une feuille blanche de format A4, d'un crayon ou crayons des de couleur (si vous voulez vous  accordez aux couleurs correspondant à chaque chakra) et d’une paire de ciseaux. Rien à réfléchir...

Vous devez tout d'abord vous dessiner vous, dessiner ensuite l’autre (personne ou situation), vous entourer d'un halo de lumière l'un et l'autre et dans son ensemble et symboliser les attachements qui vous lient (7 niveaux) puis couper ces attachements avec les ciseaux

Avec ces deux morceaux de papier dans les mains, plusieurs solutions, : vous les jetez à la poubelle, vous les passez au broyeur, vous les brûlez en disant « Vos problèmes sont vos problèmes et je ne les endosse pas ! ». Faites vraiment comme vous le sentez. et observez les changements dans la relation ou la situation

Voici le lien d'une vidéo sur lequel cliquer pour bénéficier de toutes les explications détaillées

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connaissance de soi

Connaissance de soi

Connaissance de Soi

Cette question du "Qui suis je ?" est essentielle.

Certaines personnes que je reçois en accompagnement individuel me disent : "mais qu'est ce que je fous ici ?

C'est pourquoi il est important de bien se connaître, découvrir ses valeurs essentielles, identifier ses besoins dans toutes ses dimensions, ses compétences et ses qualités souvent ignorés ou niés. Cette nouvelle connaissance de soi permet de mieux s'affirmer et de s'exprimer dans sa vérité, de mieux relationner avec les autres.

Cela donne la possibilité de se découvrir en profondeur, parfois se remettre en question en faisant fi de son Ego et prendre des décisions pour donner du sens à sa vie.

Je vous propose cette légende Hindoue pour illustrer mon propos :

Une vieille légende hindoue raconte qu’il y eut un temps où tous les hommes étaient des dieux. Mais ils abusèrent tellement de leur divinité que Brahma, le maître des dieux, décida de leur ôter le pouvoir divin et de le cacher à un endroit où il leur serait impossible de le retrouver.

Le grand problème fut donc de lui trouver la cachette.

Lorsque les dieux mineurs furent convoqués à un conseil pour résoudre ce problème, ils proposèrent ceci : « Enterrons la divinité de l’homme dans la terre. »
Mais Brahma répondit : « Non, cela ne suffit pas, car l’homme creusera et la trouvera. »
Alors les dieux répliquèrent : « Dans ce cas, jetons la divinité dans le plus profond des océans. »
Mais Brahma répondit à nouveau : « Non, car tôt ou tard, l’homme explorera les océans, et il est certain qu’un jour, il la trouvera et la remontera à la surface. »
Mais alors les dieux mineurs conclurent : « Nous ne savons pas où la cacher, il ne semble pas exister sur terre ou dans la mer d’endroit que l’homme ne puisse atteindre un jour. »
Alors Brahma dit : « Voici ce que nous ferons de la divinité de l’homme : nous la cacherons au plus profond de lui-même, car c’est le seul endroit où il ne pensera jamais à chercher. »

Depuis ce temps-là, conclut la légende, l’homme a fait le tour de la terre, il a exploré, escaladé, plongé et creusé, à la recherche de quelque chose qui se trouve en lui.

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