L’activité la plus répandue parmi les humains n’est peut-être pas celle que vous croyez. Aujourd'hui j'ai envie de partager ce qui est appelé le vol de l'Energie Vitale.
Nous sommes faits majoritairement d’énergie, sous des formes plus ou moins denses et nous en brûlons tous les jours. Lorsqu’on ne sait pas faire le plein de façon saine et naturelle, on en vole aux autres.
Les humains sont empêtrés dans cette lutte énergétique incessante et une concurrence inconsciente, qui expliquent bien des conflits, situations, et comportements. Dans son livre « La Prophétie des Andes », James Redfield décrit quatre mécanismes de vol d’énergie.
L’INTIMIDATEUR :
Il vole l’énergie en râlant de colère, opprimant, menaçant, imposant, frappant. La peur, en effet, vide le méridien des reins, siège du stock d’énergie vitale et de l’énergie originelle. L’Intimidateur n’a plus qu’à récupérer cette énergie qui s’échappe violemment et complètement.
L’INTERROGATEUR :
Il vole l’énergie en questionnant à tout propos. Les enfants utilisent inconsciemment cette technique. Les adultes l’utilisent par curiosité excessive, jalousie, pour trouver la faille et mieux rabaisser ou critiquer.
Ce mécanisme vide l’élément Terre (méridiens de l’Estomac et de la Rate), siège de la confiance en soi, le méridien de la Vésicule Biliaire (concentration, imagination, réflexion), et le méridien du Maitre du Cœur (interaction avec les autres), car ici les frontières personnelles sont violées.
L’INDIFFÉRENT :
Il vole l’énergie en se renfermant sur lui-même, laissant l’autre s’épuiser à le questionner et se demander ce qui ne va pas, voire à se sentir coupable. Cette technique vide les méridiens de l’Élément Terre (confiance en soi, anxiété/rate).
LE PLAINTIF :
Il vole l’énergie en se plaignant et en racontant ses malheurs à longueur de journée. Tout est noir, et il/elle a besoin de le faire savoir au monde entier pour aller mieux.
Et vous ? Durant cette lecture, étiez vous en train de mettre des noms sur ces profils,
(« Ça c’est exactement mon mari/compagnon ! », « Ah oui, ma mère fait tout le temps ça ! »…)…
Très bien ! Sachez reconnaître les voleurs d’énergie, petits et grands.
Mais à présent, réfléchissez à votre cas personnel. Vous reconnaissez vous dans l’une (ou plusieurs) de ces descriptions ?
Si oui, il est temps de changer de technique. Les relations avec votre entourage s’en porteront à merveille…
COMMENT ACCUMULER SANS VOLER ?
Comment accumuler de l’énergie sans la voler aux autres ? D’abord, il faut respirer profondément. Capter l’énergie des plantes (balades en forêt, plantes à la maison). Marcher pieds nus dans des lieux naturels, ou sur des matériaux naturels chauds (bois, laine). Manger des aliments vivants (fruits, légumes, graines germées, algues) et pourquoi pas, si ce n’est déjà fait découvrir le Kundalini Yoga pour vous régénérer.
Et si nous nous intéressions au mental. il est un outil fabuleux pour fonctionner dans le monde, il doit être à notre service et pas nous au sien. Il peut être tyrannique et peut devenir un bourreau dans notre tête qui attaque et nous punit sans cesse, siphonnant ainsi notre énergie vitale. Cette voix appartient au conditionnement mental, qui est le fruit de nos histoires personnelles et celui de l’état d’esprit collectif et culturel dont nous avons hérité. Ainsi, nous voyons et jugeons dorénavant le présent à travers les yeux du passé et en avons une vision totalement déformée. Il est fréquent que, chez une personne, cette voix intérieure soit son pire ennemi.
Et si nous détricotions le mental....
Qu'y a t'il entre deux pensées ? Le silence de la présence.
Pourquoi nous est-il si difficile d'être ?
Le mental crée des pensées sans cesse car il n'aime pas l'inconnu que ce vide silencieux lui laisse entrevoir. C'est le même processus qui se passe lorsqu'on est avec quelqu'un et que personne ne dit mot. La plupart des gens commencent à ressentir un malaise dans cette non communication et le mental cherche par tous les moyens à fuir cela. Or, si on se laisse simplement aller à ressentir ce moment de silence, la communication passe par d'autres circuits.
On se sens juste bien d'être là, en ce moment, avec cette personne, sans toujours avoir besoin de mettre des mots qui nous coupent de ce que l'on ressent. Le mental a toujours besoin de combler le silence et entretient sans cesse une activité de fond. Cette activité mentale est fatigante mais on ne s'en rend même pas compte. C'est comme quand on est dans un lieu très bruyant, on s'habitue au fond sonore mais lorsque le silence se fait, tout d'un coup on ressent un calme et un bien être.
Le mental cherche toujours à garder le contrôle, car au fond c'est bien lui qui a crée au fil du temps ce que nous "pensons" être, notre ego, le sens du "moi".
Toutes nos opinions, nos croyances, nos valeurs, nos jugements, nos peurs, tout cela le mental l'a créé au travers de nos conditionnements sociaux, éducatifs, culturels et religieux.
Toutes les expériences vécues, bonnes ou mauvaises ont été analysées, passées au crible, filtrées et classées par le mental. Cela a créé et crée notre identité à laquelle on s'identifie sans cesse.
Que resterait-il s’il n'y avait plus rien de ce qui fait notre identité, si notre identité s'effaçait tout à coup ?
Il ne resterait que présence, l'être véritable que nous sommes.
Le mental n'aurai plus son mot à dire et il perdrait tout le pouvoir qu'il exerce sur nous et cela l'ego ne le veut pas, il résiste et il s'accroche. Cela ne veut pas dire que l'on perd notre identité, le sens du "je" ou du "moi". On utilise cette identité tout en restant observateur de celle-ci à partir de cet espace plus profond de nous-même, à partir de ce silence et de cette paix sereine.
Se placer en tant qu'observateur de nos pensées, nous fait prendre un peu de recul face aux événements, aux émotions, aux situations de la vie quotidienne. Observez comment le mental réagit face aux différentes situations. Placez-vous en observateur curieux.
Remarquez comme le mental est prompt à réagir, juger, étiqueter, analyser, créer des peurs inutiles et résister à ce que la vie vous offre dans l'instant présent.
Observez sans entrer dans le jeu du mental, n'analysez pas ce que vous observez, n'essayez pas de chasser vos pensées. C'est un accueil total de ce qui est, c'est un lâcher-prise sur ce qui est présent à l'instant en vous.
Prenez conscience de la différence entre l'agitation de la pensée et le calme de la présence.
Le mental a une forte tendance à résister à ce qui est, il lui est très difficile de lâcher prise. voir la vidéo sur le contrôle en cliquant sur le lien
Prenons un exemple concret :
Un individu est à la poste et il y a beaucoup de monde. Il s'impatiente, il aimerait que ça aille plus vite.
Son mental crée de la résistance face à cette situation. Il aimerait que cela se passe différemment, son mental résiste à ce qui est.
Cette résistance crée en lui de la négativité, une sensation de mal être et de stress l'envahit et cela rend la situation bien plus pénible encore. Pourquoi fait-il ça ?
L'individu n'en est même pas conscient. Choisirait-il consciemment de se créer du stress et de la négativité ? Non, c'est le mental inconscient qui crée cette résistance.
Inconsciemment, le mental croit qu'en résistant de la sorte, cela fera changer les choses.
Or, nous savons très bien que cela ne change rien de s'énerver. Nous nous faisons du mal à nous même en refusant d'accepter la réalité.
Le facteur temps du mental est une source de souffrance. Nous ramenons le passé dans l'instant présent en repensant et ressassant sans cesse des événements qui ne se sont pas déroulés tels que nous aurions souhaité et nous nous projetons dans le futur en nous demandant comment nous allons faire pour vivre avec ça ou sans ça.
Pour les événements heureux c'est la même chose, nous nous disons que plus jamais nous ne pourrons revivre ça et nous nous créons alors de la déprime, de la nostalgie ou un manque.
Cela crée en nous une anxiété, une angoisse face au futur et nous ratons complètement l'instant présent.
Voici un exemple :
Votre ami(e) vous a quitté et vous souffrez. Qu'est-ce qui provoque cette souffrance ?
Vous allez me dire que cette personne vous manque. Mais d'où provient ce manque ?
Ce manque prend naissance lorsque vous repensez à tous ces moments fabuleux partagés dans le passé, que vous ne revivrez plus et la souffrance est liée à l'identification au "moi".
Tout cela est lié au temps et la pensée en est le véhicule.
Voici un autre témoignage, celui du jardinier
Voici un arbre merveilleux mais qui a des branches qui ne présentent pas tous les signes de bonne santé et l'on peut voir ses feuilles refléter la grisaille de la souffrance qu'il porte. Le jardinier arrive et il tente de soigner une branche après l'autre mais tandis qu'il soigne une branche, celle qu'il venait de soigner auparavant retombe malade. Les jours passent et l'arbre reprend un semblant de bonne santé mais il reste toujours des branches qui ne guérissent pas.
Un autre jardinier arrive et lui demande pourquoi il ne va pas voir directement à la racine.
« Mais ce sont les branches qui sont malades » lui répond-il.
« Change lui la terre et arrose-le d'une eau claire », lui répond l'autre.
Le jardinier tente l'opération et en quelques jours toutes les branches de l'arbre retrouvent leur beauté naturelle.
Si je vous raconte cette histoire c'est parce que j'ai été ce premier jardinier qui s'est occupé pendant plusieurs années de soigner toutes les branches de mon être, en participant à des stages, des semaines entières. Nous allions à la rencontre de notre corps, de nos émotions, de notre énergie, de nos peurs, de nos blessures. Tout ce chemin se faisait par le toucher, le souffle, le dialogue, les feed-back, le tantra, la méditation, etc…
J'ouvrais une porte et il y en avait dix autres derrières. C'était sans fin et j'aurait pu y passer ma vie entière à tenter de tout décortiquer, de comprendre et de pardonner à chacune de mes blessures et en fin de compte ce n'était pas cela que je cherchais. Je ne cherchais pas à me sentir mieux ou à être plus heureux, je cherchais le silence et la paix.
Il m'est apparu que je tournais en rond et que jamais je ne trouverais la libération par ces moyens.
Alors voilà que le deuxième jardinier est apparu en moi et j'ai tout laissé tomber, c'est bien plus tard que j'ai compris son véritable message.
Etat de non mental
Il existe un sentier silencieux qui se faufile entre deux pensées et qui ouvre sur l'espace infini de la conscience et voilà que notre présence se révèle, elle est comme un océan limpide et clair d'où coule une source inépuisable d'amour. Alors les pensées s'inclinent et s'écartent pour laisser couler la lumière de la conscience dans toutes les parties de notre être, jusque dans les moindres cellules de notre corps. Cet Amour qui coule en nous soigne toutes les blessures et nous libère des chaînes du passé et du futur.
Le sentier silencieux existe bien, il est tellement simple et silencieux que la plupart des gens ne le voient pas ou ne sont tout simplement pas attirés par lui.
Ainsi, quand vous observez une pensée, vous êtes non seulement conscient de celle-ci, mais aussi de vous-même en tant que témoin de la pensée. À ce moment-là, une nouvelle dimension entre en jeu. Pendant que vous observez cette pensée, vous sentez pour ainsi dire une présence, votre moi profond, derrière elle ou sous elle. Elle perd alors son pouvoir sur vous et bat rapidement en retraite du fait que, en ne vous identifiant plus à elle, vous n’alimentez plus le mental. Ceci est le début de la fin de la pensée involontaire et compulsive.
Lorsqu’une pensée s’efface, il se produit une discontinuité dans le flux mental, un intervalle de « non-mental ». Au début, ces hiatus seront courts, peut-être de quelques secondes, mais ils deviendront peu à peu de plus en plus longs. Lorsque ces décalages dans la pensée se produisent, vous ressentez un certain calme et une certaine paix.
Vous pouvez vivre ces espaces de non-mental dans la pratique de Yoga, en récitant un mantra, en relaxation, en méditation, dans une marche consciente "Breathwalk, par exemple mais aussi dans n'importe quelle activité routinière.
Par exemple, chaque fois que vous montez ou descendez une volée de marches chez vous, portez attention à chacune des marches, à chaque mouvement et même à votre respiration. Soyez totalement présent. Ou bien lorsque vous vous lavez les mains, prenez plaisir à toutes les perceptions sensuelles qui accompagnent ce geste : le bruit et la sensation de l’eau sur la peau, le mouvement de vos mains, l’odeur du savon... Ou bien encore, une fois monté dans votre voiture et la portière fermée, faites une pause de quelques secondes pour observer le mouvement de votre respiration. Remarquez la silencieuse mais puissante sensation de présence qui se manifeste en vous. Un critère certain vous permet d’évaluer si vous réussissez ou non dans cette entreprise : le degré de paix que vous ressentez alors intérieurement.
Il est effectivement important de mieux se connaître pour enfin mieux s'aimer et s'accepter pleinement et pour aimer les autres.
Citations sur l’amour de soi :
L’amour de soi passe par l’acceptation de soi. ~ Anonyme
J’apprends à m’aimer pour ce que je suis maintenant et non pour ce que je voudrais être. ~ Anonyme
Celui qui ne sait pas reconnaître sa propre valeur ne peut reconnaître la valeur des autres. ~ Anonyme
Aimer sans condition les humains, c’est la même chose que s’aimer soi-même sans condition. ~ Placide Gaboury
Apprenons à nous aimer afin que nous puissions être plus ouverts et compatissants envers les autres, et ainsi nous pouvons abattre les murs qui limitent qui nous pouvons être et ce que nous pouvons contribuer. ~ (Monde de psychologie)
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Vous trouverez ci-dessous, les Enseignement du Dalaï Lama sur les peurs et l’amour , mais aussi un lien sur lequel cliquer sur une vidéo vraiment très intéressante"Renaître"qui aborde les peurs, les besoins, la loi d'attraction, la confiance.
On n'a pas peur de mourir mais on a peur de vivre alors plus de temps à perdre à chercher des excuses, à remettre à demain à juger et à critiquer, juste le temps de vivre ses rêves et de vivre le meilleur maintenant.
S’il y a de la peur, c’est qu’il n’y a pas d’amour.
Quelque chose vous tracasse ? cherchez la peur.
Chaque fois qu’une émotion négative se présente à nous, il se cache derrière une peur.
En vérité, il n’y a que deux mots dans le langage de l’âme : la Peur et l’Amour.
La peur est l’énergie qui contracte, referme, attire, court, cache, entasse et blesse.
L’amour est l’énergie qui s’étend, s’ouvre, envoie, reste, révèle, partage et guérit.
La peur enveloppe nos corps dans les vêtements.
L’amour nous permet de rester nu.
La peur s’accroche et se cramponne à tout ce que nous avons.
L’amour donne tout ce que nous avons.
La peur retient.
L’amour chérit.
La peur empoigne.
L’amour lâche prise.
La peur laisse de la rancœur.
L’amour soulage.
La peur attaque.
L’amour répare.
Chaque pensée, parole ou action est fondée sur l’une ou l’autre émotion.
Tu n’as aucun choix à cet égard, car il n’y a pas d’autre choix.
Mais tu es libre de choisir entre les deux.
Ainsi, au moment où tu promets ton plus grand amour, tu accueilles ta plus grande peur car, aussitôt après avoir dit « je t’aime », tu t’inquiètes de ce que cet amour ne te soit retourné et, s’il l’est, tu te mets aussitôt à t’inquiéter de perdre l’amour que tu viens de trouver.
Cependant, si tu sais Qui Tu Es, tu n’auras jamais peur.
Car, qui pourrait rejeter une telle magnificence?
Mais si tu ne sais pas Qui Tu Es, alors tu te crois bien inférieur. Fais l’expérience glorieuse de Qui Tu Es vraiment et de Qui tu peux Être. Dalaï Lama
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Cette question du "Qui suis je ?" est essentielle.
Certaines personnes que je reçois en accompagnement individuel me disent : "mais qu'est ce que je fous ici ?
C'est pourquoi il est important de bien se connaître, découvrir ses valeurs essentielles, identifier ses besoins dans toutes ses dimensions, ses compétences et ses qualités souvent ignorés ou niés. Cette nouvelle connaissance de soi permet de mieux s'affirmer et de s'exprimer dans sa vérité, de mieux relationner avec les autres.
Cela donne la possibilité de se découvrir en profondeur, parfois se remettre en question en faisant fi de son Ego et prendre des décisions pour donner du sens à sa vie.
Je vous propose cette légende Hindoue pour illustrer mon propos :
Une vieille légende hindoue raconte qu’il y eut un temps où tous les hommes étaient des dieux. Mais ils abusèrent tellement de leur divinité que Brahma, le maître des dieux, décida de leur ôter le pouvoir divin et de le cacher à un endroit où il leur serait impossible de le retrouver.
Le grand problème fut donc de lui trouver la cachette.
Lorsque les dieux mineurs furent convoqués à un conseil pour résoudre ce problème, ils proposèrent ceci : « Enterrons la divinité de l’homme dans la terre. »
Mais Brahma répondit : « Non, cela ne suffit pas, car l’homme creusera et la trouvera. »
Alors les dieux répliquèrent : « Dans ce cas, jetons la divinité dans le plus profond des océans. »
Mais Brahma répondit à nouveau : « Non, car tôt ou tard, l’homme explorera les océans, et il est certain qu’un jour, il la trouvera et la remontera à la surface. »
Mais alors les dieux mineurs conclurent : « Nous ne savons pas où la cacher, il ne semble pas exister sur terre ou dans la mer d’endroit que l’homme ne puisse atteindre un jour. »
Alors Brahma dit : « Voici ce que nous ferons de la divinité de l’homme : nous la cacherons au plus profond de lui-même, car c’est le seul endroit où il ne pensera jamais à chercher. »
Depuis ce temps-là, conclut la légende, l’homme a fait le tour de la terre, il a exploré, escaladé, plongé et creusé, à la recherche de quelque chose qui se trouve en lui.
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Les techniques de purification selon le yoga sont aussi appelées “Kriyas”. Sur un plan physique et bien plus subtils encore, les Kriyas sont des pratiques destinées à nettoyer le corps et nous permettre d’être en meilleure santé. Nous pouvons faire ce nettoyage aussi dans son propre environnement car nous connaissons les interactions de l'extérieur vers l'intérieur. Aussi, voici quelques propositions pour ce nettoyage de printemps...
Ranger son chez soi, c'est mettre de l'ordre dans ses idées...
Nettoyer ses vitres, c'est se permettre d'y voir plus clair.
Dormir dans une chambre où l'essentiel réside sans aucun superflu, c'est se permettre un bon sommeil.
Avoir une salle de bain nickel, c'est ôter les énergies négatives.
Prendre des douches de "lumière", c'est se remplir de positif.
Ôter les chaussures avant d'entrer dans sa chaumière, c'est laisser les énergies extérieures à leur place.
Chez toi doit être ton "cocon". Cet endroit doit te ressourcer, et non t'épuiser.
Musique douce, quelques encens et bougies pourront aussi t'apaiser.
Les toxines de la maison sont :
-Objets que tu n'utilises plus.
-Vêtements que tu n'aimes pas ou n'utilises pas depuis longtemps.
-Objets cassées.
-Vieilles cartes et notes.
-Plantes mortes ou malades.
-Reçus, journaux et magazines anciens.
-Vieux sous-vêtements.
-Chaussures endommagées.
-Vieilleries de tous les types qui appellent le passé.
Mais aussi les accumulations :
-Dans le sous-sol et le toit, les accumulations deviennent surcharge.
-Dans l'entrée, ils limitent le flux de la vie.
-Sur le sol, ils nous tirent vers le bas.
-Au-dessus de nous, ce sont des maux de tête.
-Au-dessous du lit, ils polluent le sommeil.
-Dispersés dans la maison, c'est une surcharge d'émotions...
Toutefois, avec le détachement :
La santé s'améliore.
La créativité grandit.
Les relations s'améliorent.
Il y a une plus grande capacité de raisonnement.
Améliore l'humour.
Ces sacrées questions qui aident le détachement :
- Pourquoi est-ce que je garde ça ?
- Est-ce que ça a à voir avec moi aujourd'hui ?
- Qu'est-ce que je vais ressentir en libérant ça ?
Alors, sépare et classe :
Pour faire un don.
À jeter.
À vendre.
Le nettoyage de l'intérieur se reflète à l'extérieur...
- Évite les bruits extrêmes.
- Moins de lumières fortes.
- Moins de couleurs saturées.
- Moins d'odeurs chimiques.
- Moins de souvenirs tristes.
- Termine des projets inachevés.
- Cultive l'énergie positive chez toi.
- Fais un nettoyage général
- Et utilise des boîtes pour l'organisation...
- Commence par les tiroirs et les armoires
- Et termine par chaque chambre,
Fais tout à ton rythme...
Poubelle
Arrangements
Recyclage
Rénovation
À en faire cadeaux
À en faire don
À vendre
Note ce qui change en toi au fur et à mesure que tu nettoies...
Car en nettoyant notre maison physique, Nous mettons aussi de l'ordre dans notre esprit et dans notre cœur !
Pratique le détachement des choses matérielles qui remplissent ton espace et tu verras comment petit à petit, tu vas pouvoir faire la même chose, avec des situations de vie plus importantes. Nettoyage de printemps (article diffusé par Jason la pointe)
Vous pouvez aussi lire un livre très intéressant "la magie du rangement de Marie KONDO". ou aller à la rencontre de sa méthode en cliquant sur le lien
Je vous souhaite de belles journées printanières, de rangement pour "mieux ranger sa vie" pour retrouver de belles énergies positives.
J'aime ce schéma ci-dessous, décrivant les 4 phases à adopter en cas de conflit, issues de la communication non violente. Comment sorti d'un conflit !
Quand nous sommes en situation de conflit, qu'il soit personnelle, familiale ou professionnelle, voici les étapes à décliner avec les personnes concernées avec bienveillance et sans jugement et avec l'intention de renouer le lien.
La première étape : exprimer à l'autre, sans être dans l'accusation (le TU tue) les faits, la situation conflictuelle
Deuxième étape : décrire à l'autre nos ressentis, quels émotions ou sentiments ont émergé et qui à pu nous mettre en réaction. Ne pas oublier, que dés lors, que nous sommes en réaction, cela vient obligatoirement réveiller une blessure de l'enfant.
Troisième étape : comprendre et exprimer à l'autre notre besoin tout simplement
Quatrième étape : faire une demande à l'autre et trouver ensemble un compromis
Ci-dessous, une vidéo de Thomas d'ASEMBOURG sur la base de a communication non violente, avec un outil efficace et très simple.
Il existe aussi des livres très intéressants et efficaces, pour améliorer nos relations avec l'autre comme "Cessez d'être gentil, soyez vrai" ou "les mots sont des fenêtres" de Thomas d'ASEMBOURG.
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Dis moi comment tu prends soin de toi... Je te dirai comment tu t'estimes...
Identifier ses besoins, c’est apprendre à les combler. Aussi, quand le besoin est satisfait, vous passez de la frustration à l'art de cultiver le plaisir et d'accéder au bien-être.
Mais au préalable, il serait bon d'identifier ses valeurs pour se donner la permission d'exister.
Ensuite, une première question à se poser : De quoi ai-je besoin fondamentalement pour me sentir comblée ?
Les besoins peuvent se classer de la façon suivante(voir pyramide de Maslow) ou plus simplement
Besoins physiologiques
Manger, dormir, respirer, avoir un toit sur la tête, être en sécurité matériel
Besoins psychologiques personnels
Identité, s’écouter, s’accepter, décider pour soi, autonomie, estime de soi, intimité, plaisir
Besoins sociaux
Contact, aimer, être aimé, se protéger, prendre des risques, soutien, donner/recevoir, demander/refuser, reconnaissance, s’exprimer, être écouté, être respecté, appartenance, relations sexuelles
Besoins émotionnels
Ressentir et identifier l’émotion, gérer son émotion, exprimer son émotion, émerveillement
Besoins d’accomplissement
Se former, créer, travail, être utile, trouver des réponses, apprendre, (se) comprendre, utiliser son jugement, être capable de solutionner les problèmes de la vie courante
Nous attendons parfois beaucoup des personnes extérieures ou de nos proches pour répondre à nos différents besoins, sans être jamais satisfait(e). La plupart du temps, cela ne nous a pas été enseigné et cela peut s'apprendre ...
Alors que si nous cherchons à répondre nous même à notre besoin, on peut s'apercevoir qu'il en faut peu pour être heureux !
Si vous souhaitez avoir des renseignements complémentaires ou prendre un premier rendez-vous, contactez-moi.
Je vous partage un texte que j'ai beaucoup apprécié et qui est d'actualité avec la période COVID dans laquelle nous nous trouvons.
En effet, la distanciation sociale, la restriction de nos libertés nous empêchent aujourd'hui de relationner et d'élargir notre réseau et génère un repli sur soi.
Cela touche entre autres, les jeunes, les personnes âgées, les célibataires. L’être humain a besoin des relations sociales pour son équilibre et sa force de vie.
Cependant, on peut vivre ce qui nous est donné de vivre comme une expérience. La solitude permet de se découvrir et de mieux se connaitre mais aussi de prendre soin de nous. Elle peut favoriser l'expression de "qui on est" par ce qui nous tient le plus à cœur, de réaliser notre rêve, jamais réalisé.
Voici les propos de "Solitaire et Solitude"
Le solitaire s'est un jour adressé à son amie Solitude,
Il lui demanda pourquoi elle pleurait :
Ma douce, pourquoi ce chagrin ?
Pourquoi je lis si souvent dans tes yeux une tristesse infinie ?
La solitude lui répondit :
Parce que je me sens seule,
J'ai besoin d'amour et j'ai envie d'avoir quelqu'un dans ma vie,
Quelqu'un contre qui me blottir le soir,
Et raconter mes journées, mes joies, mes peines, mes projets, parler de tout de rien...
Je ne supporte plus d'être en permanence seule...
Je me couche le cœur serré,
Je me lève la gorge nouée,
Je passe mes journées à attendre, à espérer...
Mais rien n'arrive jamais...
Mais toi "Solitaire" je te vois toujours seul aussi mais pourtant tu souris et tu sembles aimer la vie...
Comment fais tu ?
Solitaire répondit à Solitude:
Merveilleuse Solitude,
Je suis solitaire par choix.
Je ne subis nullement le fait d'être en tête à tête avec moi-même.
C'est de loin ma meilleure ressource.
En ma propre compagnie, je me sens libre,
Je vis, je m'évade, j'apprends à m'aimer, à me découvrir.
Je refuse d'attendre ou d'espérer...
Ce sont dans ces 2 situations que tu en oublies de vivre et d'être.
La dépendance affective est un poids que je me refuse de porter.
J'ai appris à vivre seul pour un jour mieux vivre à deux.
J'ai compris que je ne serais jamais heureux si mon bonheur dépendait d'une personne.
J'ai appris à aimer de façon inconditionnelle tout ce qui m'entoure,
Et ceci pour aimer plus fort la personne qui rentrera dans ma vie.
J'ai cessé de me dire Vivement qu'elle arrive mais plutôt...
Merci pour tout ce que je possède,
Merci pour tout ce qui Est en Chemin vers Moi.
J'ai compris qu’être prêt ne veut rien dire...
On ne l'est que lorsque nos Pensées ont Cessé de Penser à l'avenir,
Et que celles-ci ont opté pour Vivre Minute par Minute sans nulle question.
Laisser l'imprévu et l'Instant Présent s'accomplir sans rien retenir ou contrôler.
Dans mon âme de solitaire, j'ai effectué un travail de Titan sur mon moi intérieur,
Je me suis Éveillé, j'ai Mûri, Grandi, Évolué.
Et c'est ainsi qu'être solitaire n'a jamais été symptomatique de solitude.
J'ai fait un choix sans le faire, car finalement ça fait aussi partie de moi.
Ma chère Solitude,
Si tu Cesses de Subir,
Mais plutôt de Commencer à te Guérir,
En Acceptant de t'Ouvrir au monde et à toi même,
Tu ne te sentiras plus jamais seule.
N'attends rien, VIS tout simplement.
Là est le plus important.
On est né seul,
On mourra seul,
Ne calque pas ta vie sur un Amour potentiellement apporté par quelqu'un.
Aime toi avant d'aimer autrui.
Satisfais-toi de ta propre présence,
Rejette toutes formes de dépendances,
Ta vie n'en sera que plus belle et paisible.
Solitaire tendit sa main à solitude,
Et solitude accepta de commencer à devenir solitaire,
Car c'est seul dans un silence percutant que l'on entend le plus de réponses.
*-Et c'est aussi dans cette même Sérénité que l'on renaît et que l'on Apprend Vraiment qui l'on Est.
La confiance en soi n'est pas inné d'autant plus lorsque les parents n'avaient pas eux mêmes. Lorsque des parents et/ou des enseignants ont mis d'une manière systématique le doigt sur ce qui n'allait pas chez l'enfant, l'enfant devenu adulte aura tendance à faire de même. Les événements traumatisants sont aussi à l'origine d'un manque de confiance. Le manque d'assurance peut être une grande source de stress et devient très énergivore en créant un grand inconfort, comme passer un entretien d'embauche, prendre son téléphone, se dévaloriser par rapport à ses compétences, ne pas trouver sa place.
Quelques pistes de réflexion
Le manque de confiance n'est pas une fatalité car elle se construit, s'entretient et se développe en tenant compte de plusieurs aspects :
les pensées ou croyances limitantes : observer et repérer votre propre voix intérieure qui vous maltraite : "je suis nul(le)", " je vaux rien", "personne ne m'aime". Observer aussi vos peurs qui ne restent que du mental. Favoriser dès aujourd'hui un regard sur vous plus bienveillant et aimant vis à vis de vous, en modifiant votre discours négatif par un discours plus objectif.
Apprendre à mieux vous connaître : vos propres valeurs, vos besoins, les messages contraignants qui vous ont construits pour mieux vous détacher de votre passé et construire votre présent.
Découvrir les qualités, vos compétences et les ressources que vous avez acquises parfois, présentes naturellement vous permettront de vous mettre en mouvement. Le passage à l'action avec un challenge (mais pas trop grand) à relever est une étape indispensable pour renforcer la confiance en soi.
Le yoga est un outil très efficace pour épurer le mental, se pacifier émotionnellement. Il permet de se recentrer sur l'essentiel, d'être plus à l’écoute de vous-même et des autres mais aussi de développer optimisme et joie de vivre.
La thérapie permet de (Re)trouver confiance en devenant le créateur de sa vie au lieu de la subir. C’est avant tout un travail sur les mémoires du passé et qui sont parfois réactualisées dés lors que ce vous vivez ressemble à ce qui a été déjà vécu. Le corps garde en mémoire le vécu de chacun. il est essentiel de comprendre, d'accepter ce qui est et qui ne peut être changer, de transformer, de trouver ses propres réponses.
Retrouvez en cliquant sur le lien la vidéo illustrant la confiance en soi
Vous trouverez également un test pour découvrir votre niveau de confiance en vous.
Sortir de sa zone de confort : la zone de confort c'est ce que vous connaissez mais ce n'est peut être plus ce qui vous convient alors oser vivre vos rêves et c'est donc accepter de vivre de nouvelles expériences, c'est canaliser ses peurs de l'inconnu qui ne sont que du mental, c'est se donner les moyens de changer de vie, sans changer fondamentalement qui nous sommes.
Cela commence par des petits pas, en s'ouvrant à l'inconnu, en modifiant notre perception des choses, en prenant quelques risques et en s'affirmant dans ses choix, dans sa prise de parole, en tant qu'individu unique. vous trouverez ci-dessous une petite vidéo
Voici une petite synthèse d'un article écrit par Paul Molga paru sur les Echos le 04/09/2015.
La méditation, une source de bien être validée par les neurosciences.
L'imagerie par résonance magnétique (IRM) révèle que la méditation pratiqué par un groupe de participants montre une moindre altération de la matière grise que dans un autre groupe ne pratiquant pas cette discipline.
Les études sur la méditation montre que dans l'intensité de cette pratique stimulerait les dendrites (le prolongement filamenteux des neurones servant à conduire l'influx nerveux) et les synapses (la connexion des neurones entre eux). La méditation agirait sur le stress, nuisible pour les cellules.
Le docteur Gérard BLOCH, à l'origine d'un diplôme de Médecine "Médecine, méditation et neurosciences" à la faculté de médecine de Strasbourg explique que la méditation n'est pas un espace de détente pour le cerveau, car il s'agit pour lui de se concentrer, d'observer les pensées, les émotions, les ressentis, les perceptions, sans s'y attacher ou se laisser distraire mais plutôt se focaliser sur un paysage, sur une flamme de bougie ou sur sa respiration ou sur un endroit du corps. Antoine LUTZ du Centre INSERM de neurosciences de Lyon a mis en évidence, grâce à l'imagerie médicale sur le cerveau de moines bouddhistes comme Matthieu RICARD que pendant cette pratique, le cerveau s'échauffe et des zones sont sollicitées successivement comme le cortex sensoriel et moteur, puis le cortex antérieur, puis les régions pariétales, pour terminer par le cortex préfrontal. Ce chercheur constate que la méditation permettaient de soutenir l'attention et d'améliorer la vigilance cérébrale. En approfondissant les recherches, force est de constater que la méditation permet de mieux gérer ses émotions, une aptitude manquante aux personnes dépressives.
Les travaux de Sarah Lazar du Massachusetts Général Hospital de Boston ont démontré en 2005 que la méditation diminuait la fonte de la matière grise due au vieillissement, jouait un rôle dans la mémorisation, la vigilance et l'adaptation au changement et permettait une meilleure gestion de nos peurs et d'anxiété. Elle ne modifie pas que le cerveau mais agit sur la santé cardiovasculaire, la tension artérielle, l'immunité.
Il existe plusieurs techniques de méditations : Méditation active (marche consciente par ex.), de pleine conscience (une attention à sa respiration, son corps, ses émotions), transcendantale (état de plénitude accompagné de sons, de mantras), vipassana.