La Gratitude et L’Acceptation  

La Gratitude et L’Acceptation  

La Gratitude et L’Acceptation  

La Gratitude et L’Acceptation

" Le secret qui change une vie. "

« Là où tout commence »

La Gratitude et L’Acceptation, parfois, la vie nous envoie des choses qu’on ne comprend pas. On avance, mais le cœur lui, reste derrière nous. On sourit, mais à l’intérieur on pleure. On aime, mais on ne sait plus comment se sentir vivant. Et pourtant, si on prend le temps d’y penser, il y a une petite solution facile et cette petite solution : C’est juste deux petites clés toutes simples qui peuvent déverrouiller un monde en entier.

Pas les belles versions que les gens mettent sur des tasses de café. Pas les belles petites phrases profondes sur les chandails. Non plus !!! Je vais te parler de : « celles qui sauvent et qui transforment un être humain brisé en être humain debout.» C’est ça, aujourd’hui : un texte qui va te faire voir un bonheur…. que tu ne voyais plus. Un texte qui fait pleurer…. mais de reconnaissance. Un texte qui va te surprendre, un peu comme, si je te faisais un croque-en-jambe pour t’empêcher de continuer à courir après le malheur.

PREMIÈRE RÉVÉLATION : « LA GRATITUDE, C’EST REVOIR LA BEAUTÉ QU’ON AVAIT PERDUE DE VUE.»

Il y a un moment dans la vie où on oublie et on arrête de voir. Oui, oui… tout simplement voir. On ne voit plus :

  • que quelqu’un nous aime encore malgré nos tempêtes,
  • que quelqu’un pense à nous,
  • qu’on a déjà survécu à l’impossible,
  • qu’on se lève chaque matin même quand tout fait mal,
  • qu’il y a quelque chose en nous qui n’a jamais lâché.

La gratitude, c’est ce moment où tu te dis :

« Attends un peu, j’ai encore ça, moi ? »« Hé oui, j’ai encore ça, “ MOI " ? » Et là, ça frappe fort. Pas comme une petite tape sur la main . Non !!! Comme un coup de soleil tellement fort que ton âme se met à briller, se réveille, puis tu te dis : « Je suis beaucoup plus riche que je le pensais. » Parce que la gratitude… c’est voir de nouveau ce que la vie n’avait jamais cessé de t’offrir.

DEUXIÈME RÉVÉLATION :  « L’ACCEPTATION, C’EST ARRÊTER DE SE BATTRE CONTRE CE QUI EST DÉJÀ LÀ.»

L’acceptation, ce n’est pas juste de dire :  « j’aime ça ». C’est de dire : « C’est là. Je le vois. Maintenant je ne me bats plus contre un mur. » Parce que se battre contre la réalité, c’est comme donner des coups d’épée dans l’eau :

  • ça use,
  • ça vide,
  • ça détruit de l’intérieur.

Mais accepter, ça fait énormément de bien et en plus on peut dire : « Mon Dieu que c’est puissant. » Accepter, ça calme mon cœur. Ça éteint les scénarios dans ma tête et ça m’ouvre très grand les yeux. Et surtout…ça me redonne du pouvoir sur moi-même. Parce qu’on ne peut pas changer ce qu’on refuse de regarder. Mais ce qu’on accepte… on peut enfin commencer à le transformer.

TROISIÈME RÉVÉLATION : « LE BONHEUR REVIENT PAR PETITS BOUTS.»

Tu veux savoir quand est-ce que la vie recommence à faire du sens ? C’est quand tu réalises que :

  • tu respires,
  • tu es encore là,
  • tu n’as jamais abandonné,
  • tu marches encore même brisé,
  • ton cœur, malgré tout… bat encore.

La gratitude et l’acceptation font apparaître ces vérités comme un soleil qui se lève dans une pièce où on vivait dans le noir depuis trop longtemps. Et c’est là que ça se produit :  un « BOUM » intérieur retentissant, et là, tu réalises soudainement que : « Je suis toujours en vie. Et que j’ai encore le droit d’être heureux(se). » Une explosion de lumière intérieure, un genre de bombe atomique d’émotion, qui fait couler des larmes, non pas de tristesse, mais de soulagement.

QUATRIÈME RÉVÉLATION: « IL Y A ENCORE DE LA BEAUTÉ EN TOI. »

Quand tu commences à accepter qui tu es, avec ton passé, tes failles, tes émotions et tes doutes… tu fais quelque chose que personne n’a jamais réussi à t’offrir complètement : « tu te donnes le droit d’exister exactement comme tu es.» Pas mieux. Pas moins. Pas plus. « Juste toi, exactement comme tu es.»

Et c’est là, que tu te surprends :

  • à voir des forces que tu ne voyais plus en toi,
  • à ressentir des petites joies qui te reviennent sans te prévenir,
  • à te dire que peut-être, t’es pas si brisé que ça,
  • à comprendre que tu mérites toi aussi quelque chose de mieux.

Tu redécouvres ton cœur. Tu redeviens ami(e) avec toi-même. « Ça…ça change toute ta vie.»

CINQUIÈME RÉVÉLATION : « TU TE RENDS COMPTE QUE TU AS SURVÉCU À L’IMPOSSIBLE.»

Quand la gratitude et l’acceptation t’habitent… tu réalises que tout ce que tu pensais être vraiment « la fin » n’était que des chapitres difficiles. Tu prends conscience que :

  • tu aurais pu t’écrouler n’importe quand, mais tu ne l’as pas fait;
  • tu aurais pu perdre ta lumière, mais elle est encore là qui brille ;
  • tu aurais pu renoncer à tout, mais tu ne l’as pas fait et tu as tenu bon.

Et là, tu pleures. Mais, tu pleures de fierté. Tu pleures parce que tu vois enfin ce que personne ne t’a jamais dit : « Tu es tenace. Tu as du courage. Tu as de la volonté. Tu as de l’audace. Tu as de la détermination. » Et c’est là que tu réalises la vérité la plus explosive du monde : Tu n’es pas un(e) survivant(e). Tu es vivant(e).  Tu es ressuscité(e).

SIXIÈME RÉVÉLATION :« TA VIE COMMENCE À CHANGER SANS QUE TU T’EN RENDES COMPTE.»

Quand tu remercies pour ce que tu as… la vie t’en donne beaucoup plus. Quand tu acceptes d’être là où tu es…la vie t’ouvre des portes que tu ne voyais pas. Quand tu vois de nouveau ta valeur… tout ton monde se replace lentement, tout doucement et profondément.

Tu deviens :

  • plus léger,
  • plus vrai,
  • plus stable,
  • plus libre.

Et les gens autour de toi sentent cette belle énergie qui change en toi. Ils ne savent pas ce que tu as fait… mais ils voient très bien ce qui se passe et ce que tu deviens.

CONCLUSION

« Le moment où tu te relèves pour de bons.» La gratitude et l’acceptation… ce ne sont pas des mots. Ce sont des cadeaux du ciel. Ce sont des miracles accessibles à tous. Ça prend un cœur très courageux pour descendre dans sa propre profondeur et ça prend une âme forte pour se dire : « Je vais arrêter de regarder ce qui me manque, et je vais commencer à regarder tout simplement ce que j’ai. » Et aujourd’hui, si tu lis ces quelques mots… c’est que tu es prêt. Prêt à voir que ta vie ce n’était pas un grand trou vide. Au contraire, elle était pleine de tout ce que tu avais besoin mais, tu avais juste oublié où il fallait regarder. Prêt à retrouver tout le bonheur que tu avais malheureusement oublié. Prêt à te dire : « Wow… Je comprends maintenant, c’est exactement ce que je vis.. » Et si tu pleures en lisant ce texte…Ne t’en fais pas, c’est tout à fait normal. C’est ton cœur qui s’ouvre. C’est ton âme qui recommence à respirer. C’est ta lumière qui recommence à s’illuminer. « Si tu voyais la beauté qui remonte en toi dès que tu cesses de te battre contre toi… ton enfant intérieur te regarde encore, les yeux brillants d’espoir, en attendant le moment où tu vas enfin te choisir pour de bon. »

Si ces mots ont mis de la lumière sur quelque chose en toi, si tu t’es senti moins seul, si ça t’a fait réfléchir ou du bien, si ça t’a permis de comprendre quelque chose, offre ce cadeau à quelqu’un d’autre : « partage-le.» Tu pourrais changer la journée ou même la vie de quelqu’un. On ne sait jamais qui a besoin de ces mots-là aujourd’hui. Merci… à toi belle âme, pour tous ceux et celles qui liront ce texte grâce à toi.

Daniel Lamontagne

Le poids du silence

Ne te compare jamais

Ne te compare jamais

Ne te compare jamais

Il y a des phrases qui font mal comme une gifle en pleine figure. Et il y a des phrases qui détruisent et qui reste ancré bien profond au creux de ton âme pour le reste de ta vie. « Pourquoi t’es pas comme ton frère? » « Regarde donc ta cousine, elle comme elle est bonne. » « Ton ami est bien tellement meilleur que toi… »

Ce sont des phrases tellement destructrices qui te font perdre ton estime de toi.  Un enfant construit son estime dans les yeux de ses parents, et ses phrases là, lui font perdre complètement son estime de lui. Ces phrases là… ça ne se remarque pas toujours. Ça ne laisse pas de bleus sur la peau. Mais ça fait des trous dans l’âme pour le reste de tes jours. Et souvent, ce sont des mots hérités qu’on utilise tous les jours inconsciemment. Ce sont des mots tellement violents, invisibles et acceptables, qui n’ont aucunement l’air de mots méchants.

On se dit, c’est juste de l’indifférence. Et l’indifférence, mon ami, ma belle amie, tiens toi bien c’est : l’arme de destruction massive la plus silencieuse du monde. Parce que quand un enfant se fait comparer, il arrête d’être lui-même. Il se met à se regarder comme s’il était “trop” ou “pas assez”.

Et tout doucement…il disparaît à l’intérieur lui, pour devenir la personne qu’il croit que les autres veulent qu’ils soient, afin d’être à la hauteur et assez aimable. Aujourd’hui, on va parler de ça. De ce poison invisible. De cette douleur qu’on normalise. De cette blessure qu’on traine tout au long de notre vie, même devenu adulte, elle nous habite encore. Et surtout on va parler de la guérison de cette blessure et de la lumière qui revient, un petit pas à la fois lorsqu’on est capable de s’en débarrasser.

Le poids d’une comparaison

Un enfant, c’est très fragile. Même si ça rit fort. Même si ça saute partout. Même si ça semble solide. Un enfant, ça se construit avec les yeux de ses parents. Avec leurs mots. Avec leurs regard. Avec la façon dont ils disent : « Je te vois. Tu comptes. Tu existes pour vrai. » Quand un parent compare son enfant à quelqu’un d’autre, il brise son estime de soi en mille morceaux. L’enfant entend l’inverse de ce que le parent veut dire. Pour lui, il entend : « Tu n’es pas assez pour moi. Tu dois être quelqu’un d’autre pour mériter mon amour. » Et là…le cœur se fend. Comme une petite fissure dans une vitre. Mais une fissure qui ne guérit pas toute seule.

La comparaison, c’est la pire forme d’indifférence qui existe, et c’est la blessure qui va le projeter directement en enfer. L’enfer du :

  • du rejet
  • de l’abandon
  • de la trahison
  • de l’injustice
  • de l’humiliation
  • et de la perte totale de son estime

Et tout ça dans une seule phrase. Oui. Une seule !!!

Quand l’enfant apprend qu’il n’est jamais “assez”,  L’enfant regarde son parent. Et dans ses yeux, il veut voir : « Maudit que t’es correct, toi. »

Mais, si les yeux des parents sont vides et indifférents en plus d’être tournés vers l’autre enfant, alors l’enfant ressent quelque chose de terrible : Il se sent complètement invisible et pas aimable. Et là, il se dit tristement : « Si j’étais comme mon frère, peut-être qu’on m’aimerait. » « Si j’étais comme ma sœur, peut-être qu’on me verrait. » « Si j’étais différent… peut-être que je serais enfin correct. » C’est là que la blessure se crée, parce que tu sais que quelque part en toi : Un enfant ne se construit pas avec des comparaisons. Un enfant, ça se construit avec de la reconnaissance.

Les dégâts silencieux, à longs termes. Quand l’enfant grandit, cette douleur ne disparaît pas. Elle change de forme. Elle devient :

  • l’envie de plaire à tout le monde
  • la peur de décevoir
  • la peur d’être abandonné
  • la sensation de ne jamais être “assez à la hauteur ”
  • la honte de soi
  • le besoin de performer pour être aimé
  • le besoin d’être parfait
  • le sentiment d’être inférieur à tout le monde
  • la jalousie pas méchante, mais juste souffrante
  • la fatigue de se comparer sans arrêt

Il devient un adulte qui perçoit les autres comme ayant tout, tandis que lui n’a jamais rien. Il ne saura jamais apprécier ce qu’il a. Un adulte qui mesure sa valeur à travers le regard des autres. Un adulte qui continue à porter malgré lui ce : «Pourquoi? » qu’on lui a lancé lorsqu’il était seulement qu’un enfant en évolution. La comparaison, c’est destructeur. Ça brise des ailes, ça éteint les lumières et ça démantèle l’identité.

La vérité que personne ne lui révèle. Un jour, cet enfant là devenu adulte comprend quelque chose d’immense :

La personne à qui il se compare : N’a jamais vécu sa vie. N’a jamais porté sa douleur. N’a jamais marché dans ses souliers. N’a jamais survécu à ce qu’il a survécu. Et soudainement. Il réalise qu’il est peut-être plus fort que ce qu’il a toujours cru. Il est plus résilient. Il est plus grand. Il est plus beau, à sa manière. Parce que comparer une fleur à une autre, c’est oublier que chacune pousse à sa manière, à sa vitesse, dans sa terre, avec son soleil et avec ses blessures aussi.

L’enfant intérieur qui recommence à respirer

Quand tu arrêtes de te comparer, il se passe quelque chose de magique. Ton enfant intérieur lève la tête. Il te regarde doucement. Il te murmure à l’oreille : « Enfin… tu me vois. Celui que je suis présentement. Le vrai : Moi. » Pas l’autre. « Pas celui qu’on voulait que je sois. Mais le vrai : Moi. » Et tu ressens pour la première fois un petit souffle de douceur et de liberté. Comme un petit papillon doré qui sort de sa coquille. Comme un rayon de lumière qui traverse une fissure dans un mur. Parce que tu existes pour vrai. Et tu es à la hauteur.  À ta manière. Avec ton histoire. Avec tes cicatrices. Avec ta merveilleuse lumière.

Pourquoi il ne faut jamais se comparer

Parce que se comparer, c’est se diminuer soi-même. C’est dire à ton cœur : « Ce que tu es… ce n’est pas suffisant. » C’est de reproduire en toi la même indifférence que tu as déjà vécu dans ton enfance. C’est te regarder avec les mêmes yeux vides qui t’ont blessé enfant. Et tu mérites tellement mieux que ça.

Tu mérites :

  • des yeux qui te voient
  • une place qui t’appartient
  • une fierté qui vient de toi
  • une douceur qui guérit
  • une lumière qui t’élève
  • une estime réelle, solide, stable
  • et surtout…

Le droit d’être seulement toi et juste toi pour qui tu es.

Conclusion

Tu n’es pas né pour être comme quelqu’un d’autre. Tu n’es pas né pour courir après l’amour. Tu n’es pas né pour te comparer à tout le monde. Tu es né pour te réaliser. Pour te découvrir. Pour devenir la plus belle version de toi-même. Tu sais : Celle qui a survécu à tout. Celle qui continue d’avancer. Celle qui mérite enfin de se regarder dans le miroir et de dire : « Maudit que t’es correct, toi… exactement comme tu es. »

Et si ce texte t’a touché…

souviens-toi : toi aussi, tu peux toucher le cœur de quelqu’un d’autre. Message émotive-choc à mettre après chaque texte Si ces mots ont mis de la lumière sur quelque chose en toi,0 si tu t’es senti moins seul, si ça t’a fait réfléchir ou ça t’a fait du bien, offre ce cadeau à quelqu’un d’autre : partage-le. Tu pourrais changer la journée — ou même la vie — de quelqu’un. On ne sait jamais qui a besoin de ces mots-là aujourd’hui. Merci…. pour toi, et pour tous ceux qui liront ce texte grâce à toi.

Daniel Lamontagne

L'enfant caméléon : celui qui a oublié sa propre couleur

L’enfant caméléon : celui qui a oublié sa propre couleur

L’enfant caméléon : celui qui a oublié sa propre couleur

Nous portons tous en nous un enfant qui, un jour, a appris à se taire pour ne pas déranger, à sourire pour apaiser, à s’adapter pour survivre. Cet enfant, on pourrait l’appeler l’enfant caméléon, celui qui a oublié sa propre couleur.

Il a grandi en apprenant à changer de couleur pour être aimé, jusqu’à oublier la sienne. Cet article, inspiré du texte puissant de Daniel Lamontagne « Le Poids du silence », nous invite à reconnaître cet enfant intérieur et à lui redonner la permission d’exister.

🪞 L’enfant qui s’adapte pour survivre

Quand l’amour semble conditionnel, l’enfant apprend très tôt à décoder les visages, les voix, les silences. Il devient un radar émotionnel, toujours en alerte, prêt à changer de couleur pour éviter la tempête.
Ce n’est pas un jeu, mais un mécanisme de survie. Derrière le calme apparent se cache la peur. Derrière la gentillesse, le besoin désespéré d’être accepté.

🎭 Le masque du petit parfait

Le petit caméléon devient vite un enfant modèle. Celui dont tout le monde dit : « Quel enfant facile ! ».  Mais ce calme cache un cri silencieux. À force d’être celui qu’on attend, il oublie qui il est. Il apprend à mériter l’amour, sans jamais croire qu’il le mérite simplement pour ce qu’il est.

💔 De l’enfant blessé à l’adulte adaptatif

L’enfant caméléon devient un adulte qui se fond dans les attentes des autres. Il s’efface dans ses relations, croit aimer mais ne fait que s’adapter.
Il devient sauveur, fort, silencieux, parfait — tout sauf lui-même. Et un jour, il se regarde dans le miroir… et ne se reconnaît plus.

🌧️ Le jour où tout craque

Ce jour-là, il comprend qu’il a vécu dans un costume trop serré. Ce n’est pas l’amour qui l’a sauvé, mais l’espoir de l’amour.
Et dans le silence, une petite voix se remet à parler : « Tu n’as plus besoin de changer de couleur pour exister. » C’est le début de la guérison.

🌱 La reconstruction : réapprendre à être soi

Retrouver sa couleur, c’est un chemin. Il faut réapprendre à sentir, à dire non, à poser des limites, à se plaire à soi-même.
Chaque pas est douloureux, mais chaque pas est une victoire. En cessant de plaire pour être aimé, on découvre la paix d’être simplement soi.

🌈 Retrouver sa vraie couleur

Sous les couches de peur et d’adaptation, notre vraie couleur n’a jamais disparu. Elle est douce, vibrante, imparfaite, mais vraie.
Elle ne plaît pas à tout le monde — mais elle nous plaît, à nous. Et c’est cela, la liberté.

🌻 Conclusion : la main tendue à l’enfant intérieur

Nous sommes nombreux à porter en nous cet enfant caméléon. Mais aujourd’hui, il est temps de lui tendre la main, de lui dire : « Tu peux sortir maintenant. Tu n’as plus besoin d’avoir peur. Tu peux vivre, respirer et aimer dans ta vraie couleur. »

✨ Phrase d’espoir

Et si, aujourd’hui, tu laissais enfin ton cœur montrer sa couleur, celle qu’il a toujours cachée ?

Et si tu as besoin d'une aide extérieure, alors n'hésite pas à me contacter, Patricia au 06 71 18 42 62 ou mail :  hello@patriciapriat.fr